Travaux Routiers - Derniers couplets
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
fh,
fbi,
extracon,
grossexe,
campagne,
Collègues / Travail
pénétratio,
pastiche,
humour,
... comme il te regarde, les yeux brillants ?— No… non. Je ferai plus attention la prochaine fois.— À ta place, je ferais le premier pas.— Je t’aiderai, s’empresse Suzon.— Non ! l’interrompt Lisette, pas toutes les deux à la fois, vous le feriez fuir, le pauvre. Quand vous l’aurez déniaisé, peut-être, mais pas avant.— Tout cela est bien joli, mais je t’ai pas baisée, Marthe. Viens ici tâter de ma queue, regarde comme elle est impatiente, poursuit Louis en secouant son sexe redevenu rigide. Puis on vous quittera, mesdames : Lisette et moi, on n’a pas fini notre tournée. Il se couche sur Marthe qui écarte les cuisses pour mieux le recevoir. — Ouiii ! Lisette se jette sur Suzon qu’elle embrasse à pleine bouche… oooOOOooo Louis traverse la cour de la préfecture en compagnie de sa secrétaire, qui marche avec déférence un demi-pas en arrière à ses côtés. Hubert prépare l’automobile du préfet. Il échange un salut avec Louis tandis que Lisette lui adresse un baiser du bout des doigts. — Monsieur l’inspecteur ! La femme du nouveau préfet se penche à la portière. Louis s’approche et ôte sa casquette pour saluer. — Oui, Madame, qu’est-ce qu’il y a pour votre service ?— Je… euh… Je suis une amie de Marie-Amélie, oui, l’épouse de l’ancien préfet. Elle… euh… elle m’a beaucoup parlé de vous et m’a conseillée de faire plus ample connaissance.— Je suis à votre disposition. Si vous voulez, je peux vous emmener en inspection.— Euh… pas aujourd’hui… Mais demain, c’est possible, ajoute-t-elle. Nous ...
... prendrons la voiture de la préfecture. Cela ne vous gêne pas, monsieur Hubert ?— Oh ! pas du tout ! déclare le chauffeur, ravi de passer une journée en compagnie de Lisette. La première partie de la tournée laisse Louis sur sa faim. Odile, comme se nomme la femme du nouveau préfet, élude toutes ses tentatives, sans pourtant le décourager. Il est sur des charbons ardents. Après le repas pris sur l’herbe, Hubert demande la permission de se promener. Lisette propose de l’accompagner. Odile leur donne l’autorisation. — On dirait qu’ils s’entendent bien, mon chauffeur et votre nièce, monsieur l’inspecteur.— Appelez-moi Louis, s’il vous plaît. Oui, du temps de l’ancien préfet, nous partions assez souvent en tournée d’inspection dans la voiture de la préfecture.— Avec Marie-Amélie ?— Avec l’épouse du préfet, oui.— N’avez-vous pas peur pour la vertu de votre nièce, monsieur Louis ? Sa vertu ! Il manque de s’étrangler ! — No… non… euh… ils sont bons amis… (Il se rapproche d’Odile) puis, ils sont jeunes… (Il pose la main sur la jupe étalée) Je n’y vois pas de mal… (La main glisse sous le tissu) Il fait beau, la nature est belle… (La main atteint le genou).— Oh ! monsieur Louis, que faites-vous ? s’exclame Odile, qui protège sa poitrine comme si c’était elle qui était attaquée.— Écoutez les oiseaux… (Les doigts du séducteur atteignent la culotte fendue) Entendez comme ils chantent l’amour… (L’index plonge dans la moiteur du sexe).— Aah ! Vous… vous n’êtes pas raisonnable, monsieur Louis. ...