Le chantier
Datte: 06/09/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Hardcore,
Partouze / Groupe
Depuis deux semaines, il y a un chantier à coté de chez moi. Tous les matins et tous les soirs, je passe devant ce chantier où les ouvriers me sifflent ou font des réflexions salaces sur mon passage. Je sens bien leurs regards vicieux sur mon corps et, je rougie à chaque foi en baissant la tête. C'est humiliant d'être ainsi remarqué par ces rustres. Mais curieusement à chaque foi, je sens une chaleur bien connue dans le bas de mon ventre et mes tétons qui réagissent. Je lis sur leurs visages de la lubricité lorsque je les croise sur le trottoir. Mon corps de femme mûre, tout en formes ne les laisse pas indifférents. En ce moment, est-ce ma le beau temps qui arrive et mes tenue légères, je suis excitée pour un rien, et de retour chez moi, je ne peux m'empêcher de me masturber en les imaginant autour de moi. Ce soir là, il fait chaud. Je ne porte qu'une jupe portefeuille assez courte qui dévoile mes cuisses avec le vent, et un top qui dévoile un décolleté sans soutien-gorges sur ma poitrine ferme et opulente. Je rentre chez moi un peu plus tardivement qu'à l'habitude. Les ouvriers sont presque tous partis. Il n’en reste que cinq. Ils s'affairent à ranger leur matériel pour le week-end. Il y a trois jeune et deux plus vieux. L'u des jeune me remarque et lance un sifflement. Un des vieux lui donne une calotte sur la tête.« T'a pas honte p'tit con ! Allez au boulot ! On va pas y passer la nuit. Laisse passer la dame au lieu de penser à des cochonneries ! »Amusée, je réponds en ...
... souriant :« Merci Monsieur. Mais c’est plutôt flatteur. »Le vieux me propose alors :« Vous êtes bien indulgente avec ces p'tits branleurs. On a presque terminé de ranger nos outils. Puis-je vous proposer une bière fraiche ? »« Et bien c'est gentil. De cette chaleur se n'est pas de refus. »Je m'assoie sur des parpaings dans le chantier en construction et discutons de l’évolution des travaux. Je me sens bien, la température est agréable, le coin est calme et les cinq hommes très courtois.« Ça fait longtemps que vous habitez ici ? » Lance un des jeunes.« Ça fait une dizaine d'année. Je me sens bien dans ce petit bourg. »Un autre hoche la tête en souriant.« Les gars du garage en face de chez vous apprécient également croyez-moi. »Pendant une seconde je le fixe interloquée. Son regard ne soutient pas le mien et glisse sur mon décolleté. Puis il reprend en me tutoyant.« Ils nous ont beaucoup parlé de ton… anatomie. »Je rougis, sans relever le tutoiement, confuse de cette réflexion. En effet, chez moi, j'aime rester nue pour vaquer à mes occupations et je réalise qu'à travers mes voilages de fenêtre, les mecs du garage en face ne doivent pas en perdent pas une miette. Je suis dans ces pensées et ça m’excite de savoir qu’ils me matent. Mais delà a en parler aux ouvrier. Je ne dis rien, très gênée et malgré moi, je sens ma respiration s’accélérer sous les regards insistants des cinq lascars.Voyant ma confusion, l'autre ancien en remet une couche.« Ils t’ont même vue te branler comme une ...