1. La vie de Coline (3)


    Datte: 07/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... je commence à téter comme si j’étais un bébé. Je sens du lait dans ma bouche, ce qui fait encore grimper mon excitation. Raphaëlle se retourne avec dans ses mains 2 ceintures équipées de 3 godes chacune. Elle en tend une à Virginie puis elle prépare la sienne pour l’enfiler : un gode dans sa chatte, un plug dans son cul. Le troisième, je le devine assez vite, elle me le destine. Elle a visiblement l’habitude d’enfiler cette ceinture. Elle aide ensuite Virginie, qui semble moins habituée, à s’équiper de la sienne. Elles s’embrassent puis se dirigent chacune vers Myriam et moi. Virginie entreprend un cunnilingus en règle sur Myriam, pendant que Raphaëlle s’attaque à ma chatte déjà bien humide et que je prodigue une fellation endiablée sur son phallus artificiel. Après quelques instants de préparation, nos amantes nous mettent Myriam et moi face à face et nous pénètrent de leurs phallus artificiels. Ça ne vaut pas une bonne queue d’homme, mais c’est très doux quand la danse est menée par une fille. Avec Myriam en face de moi, je ne peux m’empêcher de l’embrasser, baiser auquel elle répond sans rechigner, et de jouer un peu avec ses gros seins ballottants. La voir si ravissante et rayonnante en face de moi, son plaisir qui monte visiblement, ainsi que le mien, que du bonheur. Nos amantes sont redoutables et alternent les changements de rythme et les angles de pénétration. Elles nous liment longuement lorsque enfin, nous éclatons toutes les quatre dans un orgasme retentissant et ...
    ... simultané. Myriam et moi nous effondrons dans les bras l’une de l’autre en nous embrassant. Nos amantes sortent leurs bites artificielles de nous et nous tendent celle qui était dans l’autre pour nous faire goûter nos jus. Nous finissons dans un baiser à quatre avant d’aller prendre le petit déjeuner. Nous restons toutes nues et Raphaëlle et Virginie gardent leur ceinture en nous disant que la matinée ne fait que commencer et qu’elles vont encore les utiliser. Le petit déjeuner est calme, nous parlons de choses de filles et d’expériences sexuelles. Myriam, bien qu’enceinte, n’a pas connu d’autre partenaire que l’abruti qui l’a mise en cloque. — Il est beau, il était charmeur quand je l’ai rencontré, mais c’est un vrai connard, nous explique-t-elle. Quand il a su que j’étais enceinte, il a voulu que j’avorte, alors que c’est Monsieur qui ne voulait pas se protéger. Et quand je lui ai dit que je voulais le garder, il a pris ses affaires et est parti s’installer chez sa maîtresse. J’ai su à ce moment là qu’il avait une maîtresse en plus, le salop. Nous l’embrassons chacune notre tour en lui disant de l’oublier et qu’en attendant qu’elle se retrouve un homme, nous serons toujours là pour elle. Elle répond à nos baisers avant de se lever et de s’excuser, vessie de femme enceinte. En son absence, nous discutons rapidement pour voir comment nous pouvons l’aider. À son retour, nous cessons la discussion, finissons notre petit déjeuner et retournons dans la chambre. dcsdiixj N’ayant ...