"Ma femme a une grossesse fort peu ordinaire !" , partie II (3)
Datte: 11/10/2017,
Catégories:
Trash,
... salope ! Et on en fera notre esclave sexuelle parce que c‘est puni par la morale catholique ! » Abasourdis par ces révélations qui venaient du fond du cœur on se regardait tous ébahis… Je la serrais contre moi : « Oui mon amour on va t’aider à te venger…d’autant plus que ta mère ne pourra rien dire, car je l’ai filmé chez elle quasiment à poil en train de se branler devant la télé ! T’as raison c’est une vraie salope ! » Nous étant rhabillés et arrêtés pour récupérer dans un bar de plage, Cécile nous raconta son calvaire avec sa mère. Ayant 18 ans et encore vierge, Cécile voulait découvrir les choses du sexe malgré sa mère qui lui posait un carcan psychologique sur les épaules. Elle éprouvait des sensations malsaines, devant certaines situations glauques qui lui procuraient du plaisir malgré elle… Un soir que sa mère était partie à une réunion des vieilles rombières du culte de l’église, elle tomba par hasard sur une soirée thématique consacrée à la violence faite aux femmes, avec deux films et un débat. « Le justicier de New York » avec Charles Bronson qui relatait l’histoire tragique de sa femme et de sa fille,violentées par des pervers, puis « La journée de la femme » ou une jeune écrivaine partie à la campagne se faisait violer plusieurs fois par des ploucs du village. Cécile sentit monter, bien malgré elle, une tension, une chaleur dans sa poitrine, son sexe…son cœur se mettait à battre plus fort et elle se sentait toute excitée. favfbbnz « Mon dieu, je suis perverse ...
... et lubrique, comment puis je m’exciter sur des sujets comme ceux-là ? C’est horrible. » Et pourtant la moiteur dans sa petite culotte devenait de plus en plus importante, sa vulve gonflait, sa petite fente s’ouvrait alors que le film commençait… Quand les jeunes racailles pénétrèrent dans la maison de la pauvre femme avec sa fille, elle commença à se caresser la chatte, puis avec l’agression sexuelle elle ne se contrôlait plus. Elle retira vivement sa nuisette rose, et quitta sa culotte, poussa son bassin au bout du fauteuil, étendit ses grandes jambes sur deux poufs et les écarta et elle osa se passer la main sur son sexe, se branler le clitoris et s’enfoncer 3 doigts dans la chatte… elle était lubrique et bestiale, mais en vint à jouir très rapidement. Elle avait honte, elle s’en voulait mais elle avait éprouvé un plaisir démentiel, s’imaginant perversement à la place des victimes dans le film. Elle devait regarder la réalité en face : elle était une fille perverse et vicieuse, elle jouissait de regarder des femmes se faire maltraiter et avait le fantasme de se faire violer. Oui c’était très moche, mais elle se disait qu’on ne choisissait pas ses perversions et ses fantasmes. Et bien qu’elle ait cet acte horrible en horreur et en aversion, dans un coin de son esprit elle fantasmait sur ce fait. Il lui faudrait trouver un copain qui veuille bien se prêter à des jeux de rôle un peu violents avec elle… Parce que l’autre alternative, se balader en tenue sexy dans des quartiers ...