5 À 7 AU SAUNA
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
Anal
Gay
Partouze / Groupe
... ne fourre personne, préférant sans doute attendre que ma comète soit libre tandis que moi, de mon côté, je fixe un mec, ou plutôt sa virilité. Jamais encore je n’ai vu une queue aussi grosse et longue, pas même chez un black, ne sachant nullement si je pourrai la prendre au complet. Le mec se masturbe en me regardant droit dans les yeux, petit sourire en coin comme pour me dire que j’en prendrai pour mon compte. Un, deux, trois et quatre types se plaisent à venir en moi avant que le gaillard place son énorme bite entre mes fesses, exerçant une petite pression contre ma rosette en me regardant toujours comme pour me dire qu’il est temps pour moi de voir le grand Canyon. Lentement, il pousse et sans misère, son déchire-cul entre bien à fond, se plaquant contre ma prostate. Je lui souris, heureux de lui faire voir que son gros concombre ne m’importune pas, loin de là. Tout ce que je veux, c’est qu’il me défonce et me défonce encore et il le comprend assez vite, accélérant ses mouvements de va ...
... et vient. Je ne peux cacher le plaisir qu’il me procure, respirant presque avec difficulté tant mon cocotier se voit enflammé et mes cris, que je ne peux retenir, attirent encore plus de mecs qui nous entourent, excités par mes réactions. L’un d’eux se penche et se met à me sucer avidement. Je n’en peux plus et je lui gicle mon écume dans la bouche tandis que je sens encore très bien le membre glissant en moi et j’entends bien le mec sur le point de me remplir. Encore quelques coups contre ma prostate et il vient d’un grand cri avant de se retirer, laissant sa place à un autre et un autre et un autre. Par chance, même après avoir joui, mon cul possède cette capacité d’en prendre encore alors, pourquoi refuser à d’autres ce qu’ont obtenu les autres? Une fois dans ma voiture, en direction de chez nous, je me plais à compter combien de mecs ont enfoncé leurs queues dans mon pont-arrière et je me surprends à en arriver à vingt-sept. Wow… Il avait longtemps que je n’avais pas autant décompressé.