1. Strip poker


    Datte: 07/09/2020, Catégories: fh, ff, ffh, fffh, fbi, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme strip, intermast, jeu,

    ... emploi plus intéressant, il était venu justement pour négocier son départ. En sauvant l’emploi de Jennifer, il faisait d’une pierre deux coups. Et c’était très bien comme ça. Elle l’avait chaleureusement remercié. Son visage avait su exprimer mieux que tous les mots la gratitude et le soulagement. Pour lui, l’affaire était classée. Mais elle l’avait rappelé, la veille, pour l’inviter à dîner. — Je te dois bien cela, avait-elle précisé. Il avait protesté pour la forme. En fait, la perspective d’une soirée en tête-à-tête avec une si jolie personne l’avait enchanté. Et elle n’avait pas eu besoin d’insister beaucoup. — C’est sympa chez toi. Ce sont des lithos originales ?— Oui, c’est ma sœur qui les peint. Vraiment, tu aimes ?— Vraiment beaucoup, tu me feras penser à t’en voler deux ou trois avant de partir … d’autant que … Sa plaisanterie fut interrompue par le carillon de la porte d’entrée. — Qui cela peut-il être, je n’attends personne ! S’interrogea Jennifer à voix haute. Elle se dirigea vers l’entrée, comme à regret, en regardant la pendulette du salon. A peine la porte s’ouvrit-elle que des rires joyeux envahirent le couloir. — Oh, mais on te dérange, tu n’étais pas seule ? Remarqua avec à propos une très jolie jeune femme à la chevelure noir de jais.— Comme vous voyez, j’ai un invité. Remarquez, lui, il avait téléphoné avant de venir. Si, si, je vous jure que ça se fait… Répliqua-t-elle faussement en colère. Puis elle se tourna vers Mickaël et, en bonne maîtresse de ...
    ... maison, fit les présentations. — Mickaël, l’ex-collègue dont je vous ai parlé. Marilyne et Fanny, elles n’ont apparemment aucun savoir-vivre mais ont la meilleure excuse du monde : Ce sont mes deux meilleures amies !— Alors, vous êtes déjà pardonnées. Enchanté ! Mickaël ne savait s’il devait tendre la main ou non. La jolie brune ne lui laissa pas le temps de s’interroger davantage, elle vint lui faire la bise.— Marilyne, c’est moi. Fanny, c’est l’autre. Et on est enchantées, nous aussi. Et en plus, regardez, nous sommes passées chez Lee Yang. La cuisine chinoise, vous aimez ? La bonne humeur des nouvelles arrivantes était communicative, et c’est tout naturellement que l’apéritif se poursuivit à quatre, dans une ambiance détendue et chaleureuse. Tandis qu’elles racontaient leur début de soirée et, par conséquent, leur arrivée inattendue et quelque inopportune, Mickaël ne pouvait s’empêcher de les dévisager. Marilyne, dont les cheveux d’un noir corbeau ondulaient, devait avoir, comme Jennifer, dans les 35 ans. Elle était hilare et ses lèvres pulpeuses d’un rouge sans fard découvraient des dents qu’on devinait d’une régularité et d’une blancheur irréprochable. Le visage était simplement superbe, des yeux d’un vert d’eau très pur le transperçaient, lui donnant un aspect rebelle et sauvage qui contrastait avec sa jovialité. Elle portait un ensemble en sorte de mousseline blanche, légèrement vaporeuse : une jupe longue et chemisier court qui lui arrivait un peu au-dessus du nombril, ...
«1234...21»