Jour de grève (2)
Datte: 07/09/2020,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
bizarre,
laid(e)s,
train,
collection,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
attache,
totalsexe,
... reboutonner ma robe, je serai exposée aux regards de millier de voyageurs. Je ne peux même pas cacher mon visage. Ces pensées me font monter le rouge aux joues. — He ! Copine ! He ! On est là ! Hoo ! Copine ! Il me faut un moment pour comprendre que ces appels sont pour moi. Je lève les yeux pour voir qui hurle ainsi. Putain ! Se sont les deux SDF de l’année dernière à qui j’avais déjà offert un spectacle involontaire. S’ils continuent à vociférer ainsi, les voyageurs vont vite repérer où ils regardent. Ils sautent sur le quai. Tandis que l’un mime la masturbation, l’autre baise une femme invisible en position de levrette. Sauvée par le gong. La rame démarre. Les clochards courent pour me voir jusqu’à la dernière seconde, en criant et en agitant les bras. — À l’année prochaine ! Copine ! À L’aaaaannée prochaiiiiiiine ! Nous entrons dans le tunnel. J’entends des murmures qui commentent sûrement les agissements des deux malheureux. Je lève les yeux vers Maurice. Il me fait signe que tout va bien, que personne n’a rien vu. Puis, c’est ma longue descente aux enfers. Des yeux ronds me fixent, me dévisagent, me contemplent, me caressent et me critiquent, station après station. Toujours plus écrasée, je ne parviens pas à me rajuster. Il en sera ainsi pendant douze longs arrêts. Au treizième, je peux enfin atteindre mes boutons et refermer ma robe. Je souris et regarde Maurice, soulagée. Mais le goujat n’est plus là. Il est descendu sans que je m’en rende compte. À sa place, c’est ...
... un homme jeune avec des lunettes triple foyer, plein de boutons et les cheveux gras. Ne sachant pas que mon sourire ne lui était pas adressé, il me le rend, me présentant des dents qui ignorent ce qu’est une brosse à dents. Son visage étant tourné vers moi et ne sachant pas depuis combien de temps il m’observe, il y a fort à parier qu’il a vu ma nudité et mon manège avec ma robe. La suite me prouve que j’avais raison et d’une voix baveuse, il engage une discussion discrète. — Vous êtes jolie. J’aime bien les coquines. J’en regarde dans des magazines. Si vous voulez, je pourrais vous les montrer chez moi.— Non merci.— Tu veux bien que je te touche, hein ?— Non, sûrement pas !— Allez ! Je t’ai vue toute nue. Je veux te caresser. T’aimes ça. Je comprends qu’il me sera difficile de me débarrasser de cette sangsue, de plus, il ne parle pas suffisamment discrètement à mon goût. Je me tourne légèrement vers lui. Il glisse sa main sous ma robe et me pétrit le con avec fièvre. Je ne serais pas étonnée d’apprendre qu’il est puceau, car ma chatte gluante de sperme ne semble pas lui faire poser de questions. Bien au contraire. — Hum ! Tu mouilles beaucoup, ça te plaît, hein !— Oui, c’est ça, ça me plaît. Pardon, excusez-moi. Je retire sa main et me faufile jusqu’à la porte. Arrivée à la station, je peux enfin me libérer de ce voyage infernal. Je respire un grand coup. Je me retourne pour voir si le puceau ne m’a pas suivie. Je l’aperçois au fond du wagon. Il lèche sa main avec délice. Je ...