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Yvonne Ch. 02
Datte: 07/09/2020, Catégories: Lesbienne
... les fesses bien cambrées. Je te rejoins, pose le vibro près de toi et découvre ton corps avec mes doigts, ma bouche. Tu trembles à ton tour. J'avais perdu la sensation d'une toison luxuriante. Je passe un doigt entre tes lèvres que j'ai déjà bien titillé quelques instants plus tôt. C'est chaud et humide à souhait. Ta position est une invitation tentante. Je te gobe littéralement le sexe. Je le suce, l'aspire, le lèche. Je te déguste doucement, comme un mets délicats et précieux. Tu gémis, rugis. -Oh oui, ma Romane chérie, bois moi, mange moi!!! » Je n'ai pas attendu tes désirs. -Prends-moi, mon amour, prends-moi!!!!! » Je te tends alors le vibromasseur. -Prépares-le! » Tu le gobes avidement. Tu le suces, le lèches furieusement. Je ne sais si tu as déjà sucé un homme de la sorte, mais tu agis comme un gloutonne. Mes doigts te préparent doucement à la prochaine intromission vu que l'engin est quand même de taille respectable. Ta grotte s'ouvre facilement, résultat d'une longue pratique (je pense) malgré que tu n'ais plus été honoré depuis longtemps (je pense). -C'est bon maintenant. » dis-je en récupérant le vibromasseur de tes mains. « Cambres toi un peu plus! » Tu t'exécutes. L'objet phallique te pénètre sans aucune résistance. Ta respiration s'accélère. Tu pinces tes lèvres. Je passe une main sur ton clitoris et fais coulisser le vibromasseur en ...
... toi. Je l'allumerais plus tard. Tu gémis de plus en plus fort. Je sens ton clitoris plein de sang au bout de mes doigts. Je ne peux m'empêcher de passer ma langue sur ton petit oeillet bleu. Je ne sais si tu as pratiqué la sodomie, mais cela palpite également à ce niveau. Ma langue glisse du bas de tes lèvres vers ton anus. Tu es une véritable furie maintenant. Tu suintes de liqueurs. Ma main sur ton clitoris est poisseuse maintenant. Tu hurles de bonheur. Mon jeune voisin va encore se masturber comme un furieux en nous entendant. La touche finale maintenant. J'allume le vibromasseur. Tu redresses brusquement la tête. Te cherches à respirer, l'air te manque. Je commence à paniquer et alors que je m'apprête à éteindre l'engin, un long cri de jouissance sort du fond de ta gorge. C'est le plus bel orgasme que je n'ai vu chez une femme. Si des gens dans l'immeuble avaient encore des doutes sur ma sexualité, ils étaient maintenant bien fixés, grâce à toi. J'éteins enfin l'engin. Tu t'écroules le corps secoué de soubresauts. Je sors doucement le vibromasseur et me précipite afin de voir ton plaisir dans tes yeux. Je t'embrasse tellement c'est beau. Je tiens encore l'objet de ton plaisir dans la main. Je te le donne à sucer. Quelle gourmande tu fais. Je souris. On reste ainsi enlacé, se donnant de tendre baiser. Mon voisin a du se répandre à gros flot.