Comment, à 18 ans, j'ai été perverti (2)
Datte: 08/09/2020,
Catégories:
Gay
... J’accélérai un peu le rythme et je sentis soudain une pression sur l’arrière de ma tête. Roger me poussait en direction de sa queue. Peut-être voulait-il que je regarde de plus près... Je me penchai jusqu’à reposer ma tête sur son ventre, voyant mon acte en gros plan. Mais Roger avait une autre idée en tête... Il appuya plus fort sur ma nuque dans un geste lent mais puissant : "Ouvre la bouche et prends-y ma grosse queue ! Tu verras, c’est délicieux" L’ordre était donné d’un ton ferme et déterminé, ne laissant pas la place à un quelconque refus. Je me retrouvai le temps de le dire avec son gland en bouche. Quelle sensation extraordinaire ! Sa queue avait un peu le goût javellisé de la piscine, mais c’est surtout la douceur et la grosseur de sa queue qui retint le plus mon attention. Roger me tenait maintenant la tête, il l’immobilisa et utilisa ma bouche comme un trou, imposant son rythme avec les allers et venues de son bassin. Il m’étouffait avec sa grosse queue, allait de plus en plus profondément. Étrangement, je ne trouvais rien à redire à ce qui était en train de se passer. Cet homme me labourait la bouche et j’avais envie qu’il me la remplisse de son jus. Je n’avais jamais eu d’attirance pour les hommes, me branlant toujours en imaginant des femmes, mais Roger était en train de changer mon orientation, de vriller ...
... tous mes désirs. Soudain pris d’une frénésie, il se mit à franchement baiser ma bouche à grands coups de queue en me disant : "Oui, ta bouche est trop bonne, tu la prends bien profond, tu vas me faire juter, petite salope, tu es venu, tu vas prendre ce que tu mérites, petite pute !" Et il déchargea de longs jets de foutre gluant qui m’inondèrent la bouche à en déborder et m’en étouffer. Presqu’en synchro, je déchargeai moi aussi une sacrée quantité de foutre, en en mettant partout jusque sur le visage et dans les cheveux de Roger. Quelle révélation ! Roger m’avait traité comme une pute, m’avait utilisé pour son propre plaisir, sans s’occuper du mien, dans un acte que je croyais réservé aux rapports entre hommes et femmes, et j’avais joui comme jamais ça ne m’était arrivé ! J’étais anéanti, la bouche pleine, en état d’extase, et lui, ne bougeait plus non plus... …. Long silence. Tout doucement, nous revînmes à la réalité. J’avais la bouche remplie de son jus et les épaules couvertes du mien. Il me caressa les cheveux en me disant d’un ton doux mais ferme : "Avale" Je m’exécutai, même si c’était la première fois que j’avais ce goût âcre et salé en bouche. C’est qu’il m’en avait mis une dose énorme ! À peine avais-je avalé sa semence, il se releva d’un bond. Lui : "Tu viens, on retourne se baigner ?" gbvgnnhm Bientôt la suite...