1. Les foulards de Cécile


    Datte: 09/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Brigitte. Oui, c’est bien moi ou plutôt cette jeune fille célibataire de la campagne aux longs cheveux châtains fort bien éduquée. Je savais donc rougir aux bons moments ; je maîtrisais parfaitement l’art de l’hypocrisie : je n’étais pas bien mûre mais j’avais quand même vingt et un ans ! J’étais couturière, je faisais les retouches ou bien j’étudiais et concevais des rideaux décoratifs, ma petite entreprise fonctionnait tranquillement. Enfin pas si tranquillement que cela : je fis la rencontre de ma charmante voisine qui me fis l’honneur de bien vouloir passer chez moi pour me donner de l’ouvrage .Elle me saluais déjà régulièrement lors de ses passages à véhicule et même à cheval, ce qui n’ est quand même pas courant…Son brave animal pas très jeune me faisais un peu peur. Je n’aime pas bien l’équitation. Mais bon, Madame Cécile Simonin portait un style vestimentaire un tantinet désuet. Son mari était vétérinaire et trottiner de temps en temps sur un cheval était un vrai plaisir pour cette agréable femme de cinquante ans. Quelques mois plus tard, nous avions vraiment de bonnes relations ; Cécile me confia que sa fille qui finissait ses études à bordeaux lui manquais et que je mettais de la joie dans sa vie…J’étais un peu surprise, je n’avais pas senti à quel point j’appréciais cette femme. En fait, Cécile me troublais, elle me rappelait un peu ma directrice au collège qui sentais très bon et avait un nouveau foulard qui flottait chaque jour dans le col de son chemisier de ...
    ... satin…Une merveille de sensualité… Et bien Cécile, si elle aussi collectionnait les foulards luxueux visiblement, avec passion ; elle n’avait aucun talent pour entretenir sa maison. Elle avait besoin d’aide et j’étais ravie de soulager mon amie. Elle payait bien et quand elle n’était pas là, j’avais pris mes petites habitudes dans son dressing…Et c’est à cet endroit qu’elle entreposait sagement pliés dans leur boîte ou dans de modernes tiroirs laqués, une incroyable collection de foulards multicolores. Je fis alors une découverte…J’étais comme possédée, des papillons dans le ventre…Je mouillais. La soie crissait Hermès, Léonard, Vuitton , Bvlgari, Valentino…Du twill de soie brillant sous les spots, flamboyant dans le mouvement, lourd et parfumés, j’étais troublée. Je ne pouvais plus me mentir, un plaisir étrange se manifestait et je n’étais pas bien fière. Je décidais de venir désormais travailler avec de jolis chemisiers pour pouvoir y lover en secret chaque jour dans le décolleté un joli grand foulard choisi au hasard dans le dressing. Mes tâches terminées tout était impeccablement rangé et rutilant dans la maison. J’y mettais un point d’honneur. Cécile imposait et méritait vraiment le respect et l’admiration… Cécile, qui avait le sens de l’observation ne tarda pas à repérer mon petit manège .Malgré ma rigueur, des foulards avaient fini par changer de place ou de boîte, j’étais un peu perdue dans ces rangements… Elle rentra par surprise chez elle et je fus découverte allongée ...
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