Au bord de la nationale 4...
Datte: 09/09/2020,
Catégories:
Gay
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
... pris son membre en bouche. Il était vraiment gros, bien décalotté et un peu recourbé. Il sentait fort lui aussi. Je l’ai sucé, m’attardant sur le gland, tout en le branlant. Il râlait. Les voitures passaient sans nous voir, à trois ou quatre mètres de nous. C’était génial !Il était endurant et cela a bien duré dix bonnes minutes de va et vient de mes lèvres sur son gros dard poilu. Un moment, il m’a demandé de lever mon cul pour le caresser, me branler et finalement me doigter. Ca m’a surpris mais comme il n’était pas trop sauvage dans ses manières, c’était bon.A ce moment, un vététiste est passé sur le chemin et nous a vu. Mon Portugais a voulu retirer sa bite de ma bouche. Je lui ai dit :- Laisse, on continue. Il a l’air d’aimer !Et, en effet, le type – d’une quarantaine d’années – avait posé son VTT par terre et il s’approchait en sortant sa queue de son cuissard. Belle queue, d’ailleurs.- Je peux regarder ? a-t-il fait.- Oui. Viens plus près.Pendant qu’il faisait encore quelques pas timides vers nous, je me suis bien mis de profil pour qu’il puisse profiter du spectacle de la grosse queue du Portugais entrant dans ma bouche et en sortant.Mon acolyte a vite déchargé. J’ai juste eu le temps de retirer sa bite de ma bouche. Un peu tard, d’ailleurs. Notre voyeur s’astiquait frénétiquement une bite de taille moyenne. Je n’avais qu’une peur : c’est qu’il me demande ...
... de le sucer parce que j’avais donné : j’avais des crampes dans les joues. Je m’approchais de lui néanmoins, pendant que l’autre, remettait vite sa bite dans son pantalon, nous saluait rapidement et rejoignait sa camionnette... oubliant sa promesse de me sucer ! Sans doute, cette culpabilité d’après coït...Moi, je pris la bite du voyeur dans ma main et je commençais à le branler. J’étais toujours en érection et il louchait sur ma bite avec envie.- Tiens, prends là si tu veux !Lui dis-je en projetant ma queue en avant. Elle se balança un moment, droite et provocante, avec son gros gland tout rouge, devant lui. Il la prit et commença une branlette dont je me souviens encore. Ce mec devait se paluchait souvent pour branler si bien. C’était un professionnel, c’est certain.Nous avons déchargé quasiment en même temps. Quand nous eûmes terminé, il me dit :- P*****, c’est trop bon ! Il faut se revoir !Je devais le revoir, en effet. Au même endroit et à plusieurs reprises. Nous nous branlions. Nous ne nous sommes jamais sucés, c’était convenu d’avance. C’était sa volonté, sans doute pour ne pas se sentir coupable vis-à-vis de sa femme. Et puis, plus rien. Il a dû quitter la région. Mais quelles branlettes nous nous offrions !A bientôt. Je vous raconterai ce qui m’est arrivé une fois, avec un couple, sur la butte pleine de ces herbes sauvages qui me chatouillaient la bite...