Comment, à 18 ans, j'ai été perverti (3)
Datte: 09/09/2020,
Catégories:
Gay
... le léchage d’anus. J’entrepris de me branler en même temps car la sensation était très agréable et excitante. En moins de deux, Roger se releva, cracha sur sa queue, la pointa sur mon œillet, me pris les hanches à 2 mains et inexorablement, poussa en avant, faisant pénétrer son gland puis tout le reste de sa colonne de chair dans mon cul. La sensation fût d’abord épouvantable, comme un déchirement. Mais il ne tînt pas compte de mes cris, se contentant de me dire dans le creux de l’oreille : "Tu ne t’y attendais pas à celle-là, hein ?!" D’abord lentement, avec de nombreuses poses pour habituer mon sphincter à la présence de sa queue, puis plus rapidement, Roger me défonça littéralement le cul, m’arrachant des cris mélangés à des soupirs parce qu’il fallait bien l’admettre, au-delà de la douleur due à cette toute première fois, et à la grosseur du sexe de Roger, la sensation était jouissive, je me branlais frénétiquement, je vivais ce dépucelage comme une révélation : j’aimais me faire posséder et traiter comme une femme et sans ménagement. J’avais un orifice dont j’ignorais jusqu’à présent l’usage qu’on pouvait en faire, et celui-ci était en train de me faire jouir en étant distendu et maltraité par le burinage de cet homme mur. J’avais mal et je jouissais par flots de sperme régulièrement lâchés. Roger ne se préoccupait plus que de son plaisir, ...
... il me possédait, sans ménagement. Sentant sa jouissance venir, plus rien ne le retenait : "Oui ! Oui ! Oui ! C’est trop bon un cul comme ça ! T’as bien fait d’venir ! Je vais te remplir ton petit cul bien serré ! J’suis sûr que t’imaginais pas que tu allais te faire défoncer l’anus, hein !? Tu en redemanderas, tu verras ! AAAAAHHHHHHHH !" Roger venait de me remplir le rectum et moi j’avais déjà déversé des litres de jus qui formaient une flaque sur le carrelage du bord de la piscine. Soulagé, Roger se retira et s’allongea tout à côté de moi, semblant satisfait de ce qu’il venait d’accomplir. Lui : "Alors ? Tu ne regrettes pas d’être venu ? Moi : "…..." La marre de foutre que j’avais déversée parlait pour moi. Lui : "Soit tu as des fuites par le nombril, soit tu as sacrément apprécié ! Ah ah ah ah !" Il avait raison, j’avais vraiment apprécié, même si j’avais le cul irrité avec un sentiment de vide intérieur.... Ce qui m’étonna, c’est l’absence totale de tendresse de la part de Roger à mon encontre. De toute évidence, je n’avais été qu’un objet de plaisir dont il avait joui. Mais je ne lui en voulais même pas, fier de l’importance du rôle que je venais de jouer dans son plaisir et bouleversé par la jouissance que j’en avais retirée. swsllcg Je savais que désormais, plus rien ne serait comme avant... Lui : "Tu viens ? On va prendre une douche !"