1. Le voisin est un pur-sang (2)


    Datte: 10/09/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... sur le cul. "Aïe ! Tu me fais mal. Je vais être toute rouge. Eric va s’apercevoir de quelque chose". Oui, je m’étais bien aperçu de quelque chose. Ce mec déboîtait ma femme avec une expertise que je jalousais. Jamais je n’avais fait tout cela et si longtemps. Il était remarquablement endurant. Il s’amusait à retirer son dard entièrement, puis à le refoutre, en variant le rythme, tantôt rapide et tantôt lent. Quand il y allait comme un marteau-piqueur, je pouvais voir les seins s’agiter vigoureusement dans tous les sens Au comble de l’excitation, mais couilles se vidèrent enfin, sans que j’ai jamais touché mon zob. Je dus me pincer les lèvres pour retenir un râle orgasmique. Lui aussi allait aboutir. Il se retira vivement, fit asseoir Anne-So, à côté du lit, la tête posée sur le matelas et lui enfourna son gourdin dans la bouche. Placé comme il était, je dus plisser les yeux pour qu’il ne s’aperçût pas que j’étais éveillé. Il se servit de la bouche comme d’une vulve, allant et venant, mais seul le gland disparaissait, le phallus étant trop gros et trop long pour s’enfiler entièrement dans le puits de salive. Il avait capturé sa tête entre ses mains pour appliquer la gaule au plus profond possible. On sentait qu’Anne-Sophie faisait des efforts pour ne pas suffoquer. Enfin il se cambra, sortit sa matraque, pencha sa tête en arrière et ferma les yeux pendant que j’ouvrais grands les miens. Il donna que quelques coups secs sur la queue dans une impressionnante masturbation finale ...
    ... et je vis la gelée s’élancer en l’air en jets longs et fournis. Ils s’abattirent sur le visage soumis et, lorsque vinrent les derniers hoquets de foutre, au moment ou la source allait se tarir, Il ouvrit les yeux et dirigea sa main vers la bouche béante pour que les dernières gouttes y plongent directement et rejoignent les filets qui, déjà ruisselaient du nez vers les lèvres. Il introduisit son vit en soufflant puissamment. Je fermai les yeux. Il vint s’affaler de tout son long contre moi, son corps trempé de sueur. Il attira ma femme contre lui. Nous étions serrés tous les trois, eux entièrement nus sur le lit et moi sous la couette. Il régnait une bienfaisante odeur de rut. Ils restèrent un moment silencieux puis il dit : "Putain, c’était super. Tu es un super bon coup. Ton mari ta bien prise en mains.Quand je pense qu’il a tout ça à lui tous les jours, le veinard...". Anne- Sophie se taisait. "Tu as aimé"? "Oui, tu m’as lessivée". "Quand pourrais-je revenir "? "Je sais pas". "Tu sais ce que j’aimerais" ? "Dis toujours". "J’aimerais pouvoir m’endormir là entre vous deux. Me lever demain matin. Aller soigner mes bêtes à l’aurore, me doucher, puis revenir avec vous. Alors, avec Eric, on te baiserait tous les deux. Cela te plairait". "Je sais pas. Je sais pas..." "ouais, je sais un fantasme. Pote comme on est je suis mal de le faire cocu. S’il te partageait avec moi, si on était pote de baise... le pied. Surtout qu’il est bien gaulé ton mec.... tu voudrais pas lui demander un ...
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