Balade pas trop loin de Lille
Datte: 10/09/2020,
Catégories:
fhh,
couplus,
forêt,
jardin,
caférestau,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
... En effet, l’odeur a presque disparu, ce qui n’est pas un mal pour mon petit nez sensible. Mais un autre problème survient : — J’ai chaud ! Pour confirmer mes dires, je soulève ma minijupe pour aérer ce qu’il y a dessous. Comme de coutume quand c’est ainsi, je ne porte rien. Valentin est à la fois ravi et étonné de ma décontraction. Il se tourne vers mon mari et lui demande : — Elle est toujours comme ça ?— Elle peut être pire…— Pire ?— Disons qu’avec toi, elle a beaucoup envie de jouer… Tu devrais le savoir. Tu as fait déjà quelques cams avec elle ; tu es même venu en début de mois. Et tu dialogues avec elle depuis un bon bout de temps.— Oui, oui… Mais entre dire et faire, il y a une nuance.— Sache que, quand Nella promet quelque chose, elle le fait. Donc, si elle t’a promis quelque chose, attends-toi à ce qu’elle tente de le concrétiser.— Ah ! Merci de l’info… Valentin a une étrange expression sur le visage ; je pense qu’il est en train de penser à toutes les conneries que j’ai pu lui sortir ces derniers temps, par mail, par webcam, au téléphone, et à ce que je lui avais promis. Bon courage pour se souvenir de tout ! Pascal tend à nouveau le bras : — Il y a un banc un peu plus loin…— Ah bon ? Allons-y. Peu après, je suis assise sur un banc de pierre, avec Valentin à mes côtés. Je regarde l’eau couler, l’odeur de tout à l’heure en moins. Mon voisin en profite pour poser sa main sur mon genou. Bonne initiative. Pascal s’assied dans l’herbe, face à moi. Quelque chose me dit ...
... qu’il a une idée derrière la tête, ou plus précisément entre mes jambes. Par contre, Valentin en reste là. Ah ces hommes (sauf le mien) à qui il faut tout expliquer ! Alors j’écarte un peu les jambes pour signifier à mon voisin qu’il est autorisé à s’enhardir. Le seul qui en profite vraiment, c’est mon mari qui a la bonne place et la bonne vue… car Valentin se fait un malin plaisir de laisser sa main sur mon genou, sans chercher à aller plus loin et plus profondément. J’ai à présent les jambes largement écartées, un boulevard, mais mon voisin se contente de me sourire d’un air crétin. Je suis persuadée qu’il l’a fait exprès. À moins que la présence de mon mari ne l’intimide. Mon mari, lui, mate à tout-va ! Au moins un qui en profite… À moins que Valentin ne soit un de ces hommes qui veulent mener d’eux-mêmes la danse ; qui sait ? Après nous être reposés au moins dix minutes sans que rien ne se passe – sauf à parler de tout et de rien – nous partons de là, suivant un petit chemin sinueux. Quelques minutes plus tard, nous voici arrivés au pied d’un autre parc. Au pied, car il faut monter : soit la pente pour les vélos et les poussettes, soit l’escalier. Arrivés en haut, nous découvrons une petite plaine bosselée parsemée d’arbres et de bosquets, sans plan préconçu. — Il n’y a personne ici ! s’exclame Valentin.— Il n’y a jamais beaucoup de monde : c’est l’Alevinier qui est plus coté. De plus, comme tu peux le constater, ce parc est à moitié entretenu, le minimum syndical.— Oui, je ...