1. Jeux d'eau


    Datte: 13/09/2020, Catégories: grp, copains, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, init, fantastiqu,

    ... ceux des filles mais plus nerveux, on devine les muscles qui se dessinent sous la peau. C’est côté sexe qu’apparaissent les plus grosses différences. La queue de Maxime dépasse des poils, le gland découvert. La verge de Cyril a gonflé depuis son entrée dans l’eau tandis que celle de Marc reste obstinément cachée au milieu de la touffe qui orne son bas-ventre. Je suis aussi excité de frôler les attributs masculins que les fentes des filles. Qu’est-ce à dire ? L’état de fantôme me rendrait bisexuel ? À l’inverse de moi, les six jeunes gens ne voient que leurs têtes qui dépassent, le reste des corps étant voilé par la surface miroitante. Je sens Annie se décontracter. — Attendez ! Je reviens tout de suite, s’écrie Maxime. Un rétablissement sur la margelle et le voilà dehors. Il disparaît de ma… perception - j’allais dire « ma vue », mais c’est inexact puisque que n’ai plus d’organe visuel - pour revenir avec un ballon qu’il lance au milieu de la piscine. Les garçons se précipitent. — À moi Cyril, à moi ! hurle Brigitte.— Non, à moi ! crie Josiane… Aïe ! Espèce de brute ! Tu perds rien pour attendre ! Elle envoie le ballon en direction de Brigitte mais c’est Maxime qui l’intercepte pour le lancer sur Marc, etc. Les jeunes gens se récréent comme ces gosses qu’ils étaient il n’y a pas si longtemps. Ils en oublient leur nudité. La jeune Annie, réservée au début, se met vite au diapason. Le jeu reste innocent, les contacts accidentels et vite corrigés. La surface de la piscine ...
    ... ressemble à une mer démontée en miniature. Je n’ai pas à regretter de ne pouvoir produire des ondes, les remous actuels les effaceraient. Je m’amuse à envelopper les corps lisses, mais je ne pense pas que dans l’excitation du jeu ils s’en rendent compte. Leur chair est ferme, la peau douce. J’entoure les tétins érigés, m’attarde sur les seins hémisphériques que la pesanteur n’a pas encore déformés, soupèse les testicules quasiment imberbes, tente de saisir les pénis souples qui échappent à mes semblants de caresses. Les cris poussés par les filles effraient les oiseaux du voisinage qui se taisent. Cela ne gêne en rien les baigneurs. J’ai une pensée émue pour mes congénères fantômes du jardin que le bruit doit déranger. Au bout de dix minutes de bataille acharnée, la fatigue tempère les ardeurs. Je souris : les mains, se sachant protégées des regards par les ondulations de la surface, ne s’écartent plus aussi vite lorsqu’elles touchent une fesse, une poitrine, un ventre, une verge. L’ambiance va changer, j’en veux pour preuve les queues dont le volume s’accroît, même celle de Marc. Peu à peu les gestes s’alanguissent, les mains traînent sur la peau. Maxime ose le premier geste équivoque. Sous prétexte d’empêcher Annie d’attraper le ballon, il l’empoigne par derrière, les mains sur les seins. La jeune fille, surprise, pousse un petit cri et tente maladroitement de se dégager. Marc qui se proclame son chevalier servant se précipite pour l’aider. De leur côté Brigitte et Cyril se ...
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