Gabrielle
Datte: 12/10/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
ascenseur,
fsoumise,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
fdanus,
Gab ! Gab ? Peu à peu je reprends mes esprits. J’ai encore joui. Encore. Je deviens complètement accro. Je ne veux plus que ça s’arrête. Doucement je me relève, me dirige vers la douche en m’étendant comme une féline. Un soupir d’aise sort de mes lèvres. Je sens son regard admiratif vers mes reins. J’en joue. J’accentue légèrement ma démarche, jette un coup d’œil mutin par-dessus mon épaule. « Rejoins-moi » crie mon corps tout entier. À peine l’eau commence-t-elle à s’écouler dans ma nuque que mon corps réagit par des frissons de plaisir. Sentir l’eau envelopper l’arrondi de mon épaule, caresser la peau fine de ma poitrine, s’introduire entre la raie de mes fesses… Divin. Ses pas sur le parquet m’annoncent qu’il se rapproche de la salle de bain. L’appréhension, l’attente du plaisir se font sentir. Il me connait bien, il rebrousse chemin, me laissant seule avec mes désirs. Mes mains se font alors plus audacieuses, parcourent mon corps en insistant sur mes zones érogènes, mon corps se tend comme un arc. — Tu ne comptes pas en profiter toute seule ? Enfin, le voilà ! Je ne me retourne pas. Le laisse pénétrer avec moi sous le jet bouillant. Je sens ses mains se poser sur mes hanches, m’attirer contre lui. Il bande déjà, le coquin ! Je laisse partir ma tête en arrière, dans le creux de son épaule, acceptation implicite de tout ce qu’il pourrait me faire. Je n’en peux plus. « Baise-moi » crie tout mon être. La réaction ne se fait pas attendre. Il me plaque violemment contre la ...
... mosaïque de cette grande douche à l’italienne, règle le jet d’eau un peu plus chaud, s’empare de mes mains, qu’il place de chaque côté de mon visage collé au mur. De son pied droit, il m’écarte les jambes d’un coup sec. J’accentue ma cambrure, sachant très bien que dans cette position il ne peut pas résister longtemps. Puis il recule, doucement, en prenant tout son temps. Le savoir m’observer, dans cette position de femelle soumise, prête à assouvir tous ses désirs me rend folle. Je retiens mon souffle. Une décharge traverse mon corps de pied en cap lorsqu’il se décide enfin à me toucher. Un doigt insidieux parcourt mes lèvres intimes, remonte vers mon pubis à la recherche de mon clitoris, titille ce dernier, redescend vers mon anus, taquine ma rosette, s’introduit – enfin — dans mon vagin. Mes gémissements se font plus rauques, ma respiration s’accélère, je tente de me retourner pour lui rendre le plaisir qu’il me donne, mais il me maintient solidement face au mur. — Reste comme ça petite chienne. Une chienne, oui, c’est exactement ce que je suis. Une chienne en chaleur attendant la saillie. Sa main quitte alors mon intimité et je sens sa bite passer et repasser entre mes fesses. D’un coup sec, il me pénètre, faisant exploser mon plaisir. Centimètre par centimètre, sa bite épaisse provoque une nouvelle vague de plaisir dans mon corps de femme. Il bute au fond de mon vagin et entame un lent va-et-vient, j’accentue encore ma cambrure pour sentir ses couilles rebondir sur mon clito ...