Histoire d'étudiantes
Datte: 12/10/2017,
Catégories:
Lesbienne
Masturbation
Inceste / Tabou
... : « Vous venez souvent ici ? » « De temps en temps, pour bouquiner. » « C’est bien. J’aime beaucoup lire aussi. Que lisez-vous ? » « Louis Calaferte. » « Je ne connais pas. » J’ai précisé : « La Mécanique des Femmes. » Il a souri en regardant mon livre posé à l’envers sur mes genoux. « C’est compliqué, les femmes. Je les trouve encore plus mystérieuses que les astres. Qu’en pensez-vous ? » « On m’a souvent dit que j’étais compliquée. » Il souriait toujours, mais en me regardant dans les yeux. « Je n’en doute pas. Pourtant, quelque chose me dit que vous aimez la simplicité. Je me trompe ? » J’ai souri à mon tour et répondu en regardant ailleurs. « C’est vrai. J’aime ce qui est simple. » Il a croisé ses jambes, puis ses bras. « Voyez-vous un inconvénient à ce qu’on se tutoie ? » Je me suis tournée vers lui. « Non, je n’en vois pas. » « Parfait. Je trouve que le tutoiement change tout dans une relation ou un simple dialogue. Qu’en penses-tu, Émilie ? » « Oui, sans doute. » « Peux-tu me tutoyer ? » J’ai cherché une phrase, mais je n’en ai pas trouvé, alors j’ai dit : « Je ne sais pas quoi te dire. » « Tu vois, tu as réussi. » « Oui, c’est vrai. » Nous avons ri, puis il est devenu sérieux. Il a de nouveau laissé son regard glisser le long de ma poitrine, de mes cuisses, puis il est remonté jusqu’à mon visage en disant : « Tu montres souvent ta chatte de cette façon, Émilie ? » Je me suis sentie monter rouge et j’ai baissé les yeux pendant une ou deux secondes. Puis j’ai répondu : ...
... « De temps en temps. » Il a dit : « Tu aimes le sperme ? » « Oui, pourquoi ? » « Parce que j’aimerais décharger dans ta bouche et que tu laisses bien couler mon sperme sur ton menton. Il y a un sous-bois de sapins, pas loin de là. Tu pourrais t’y foutre à poil et me sucer. Qu’en dis-tu ? » J’ai souri. J’ai pensé à Sarah le temps d’un éclair. Le nombre de fois où des hommes nous avaient proposé de leur tailler des pipes à l’écart des allées d’un parc… Le nombre de fois où j’en avais crevé d’envie. Je l’ai suivi dans le sous-bois. Je me suis mise à poil, puis accroupie pour le sucer. Il a gardé ses vêtements et m’a demandé d’ouvrir mes cuisses. Puis de me branler. Sa queue était dure, d’un gabarit classique. Son gland était énorme en revanche, gonflé à bloc. Je faisais tourner ma langue autour, comme avec un sorbet à la framboise. Ou bien je prenais la moitié de sa queue dans ma bouche, sans cesser d’enrouler ma langue, en le regardant dans les yeux, sans cesser de me branler. Il m’a dit : « Je ne te préviendrai pas quand je giclerai. » J’ai fait oui de la tête et il a ajouté : « Tu viens d’obtenir ta licence de lettres, n’est-ce pas ? » J’ai ralenti mes mouvements et froncé les sourcils en hochant la tête. Il a dit : « Je t’ai aperçue, une fois, devant chez moi, avec Sarah. » J’ai interrompu mes gestes et abandonné la queue. « Vous connaissez Sarah ? » « C’est ma fille, a-t-il dit en posant sa main sur le sommet de ma tête. Ne t’arrête pas de sucer, s’il te plait. » Je me suis ...