La spirale infernale (2)
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
Gay
J’étais bien décidé à reprendre le contrôle de ma vie. Et je me jurais de ne plus utiliser cette application, ni d’aller sur quelque forum que ce soit. Seulement, entre temps, ma boite mail s’était garnie de nouveaux messages et de nouvelles photos. La curiosité était trop forte.Et par un soir de solitude, j’entrepris de lire ces mystérieux messages accompagnés de leurs précieuses pièces jointes. Une belle collection de queues s’offrait à moi et rapidement mon excitation revint. Je ne saurais dire pourquoi, l’une d’elles en particulier attira mon attention : Sur la photo, la queue paraissait plus épaisse, un énorme gland luisant la finissait, les couilles étaient recouvertes de poils et on devinait un ventre rebondi de sexagénaire. Tout le contraire de mes précédents candidats. Je me sentais de plus en plus chienne, et la perspective d’une vieille grosse queue puant la pisse me faisait bander comme un fou. Galvanisé par l’excitation, j’envoyai une réponse. Il répondit aussitôt et après quelques banalités : _ Voyons-nous maintenant ? _ Ok Marié lui aussi, et sa femme étant absente, il m’invitait directement chez lui. A trente minutes de chez moi. Dans la conversation, il me confia être un vieux cochon. Ni une ni deux, la queue raide comme une baguette de tambour, je sautais dans ma voiture direction papy cochon. J’arrivais dans une zone pavillonnaire endormie, et m’arrêtais à l’adresse qu’il m’avait indiquée. Par une fenêtre la lumière du néon laissait deviner un intérieur ...
... rustique et vieillot. J’hésitais un instant, mais l’excitation était décidemment trop forte. Je sortais de ma voiture. La sonnette raisonna. La porte s’ouvrit. L’homme, souriant, m’invita à entrer. Il avait un fort accent rustique, ses mains étaient énormes et calleuses. De vraies mains d’ouvrier. Il faisait à peu près ma taille, il arborait un ventre proéminent. Il n’avait presque plus de cheveux et une barbe rousse encadrait son visage buriné et couperosé . Alors que mon précédent partenaire exhalait des fragrances de savon et de parfum, je percevais chez mon hôte une odeur de sueur et de tabac froid, ainsi qu’un relent de vin rouge. Il m’invita à le suivre et nous pénétrâmes dans la salle à manger qui semblait être la pièce principale. La télé, surmontée d’une poupée espagnole sur napperon au crochet, ronronnait dans un coin, une toile ciré aux motifs bariolés s’étalait sur la table rustique, et la lumière blafarde du néon au plafond, rendait l’endroit particulièrement sordide. Il m’invita à m’assoir. Je m’exécutais. Il resta debout à quelques mètre et me demanda si c’était vraiment ma première fois. J’acquiesçais sans un mot alors qu’il ouvrait sa braguette. Il planta sa main dans son pantalon et commença à se caresser doucement en me regardant avec lubricité. Je me sentais très mal à l’aise, et dégouté par l’hygiène douteuse du bonhomme, je me demandais comment j’allais pouvoir m’extirper de ce mauvais pas. _ Tu veux jouer à un petit jeu ? demanda t’il. _ Faut voir. ...