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Mon inconnue
Datte: 12/10/2017, Catégories: Lesbienne Première fois
Il se fait tard. Je suis fatiguée de conduire. Je m’arrête devant un tout petit hôtel. Je suis visiblement la seule cliente. La patronne, une jolie rousse me sert le repas tout simple. J’ai simplement emmené avec moi la petite mallette. J’en aurai assez pour la nuit et le lendemain matin.- Vous devez aller loin, me demande la patronne.- Assez oui, pourquoi ?- Si vous voulez je peux vous tenir compagnie, j’aime bien les femmes comme vous.Est-ce un appel du pied, comment a-t-elle deviné que j’aime baiser les filles ?- Faites comme vous voulez, vous serez la bien venue.- Je viendrais vous voir plus tard, il ne faut pas que je ferme de suite à cause d’un éventuel client.Je la regarde partir avec au fond du ventre l’envie qu’elle vienne me voir tout à l’heure. Si nous nous couchons plus tard, je ferai la grasse matinée avant de m’en aller.En attendant elle m’a excitée. Je m’aperçois que j’ai oublié la mallette en bas. Je n’ai pas à me déplacer, elle frappe à la porte pour me remettre mon bien. En partant elle se retourne pour m’envoyer un baiser en faisant un clin d’œil.Je me déshabille pour me masturber avant qu’elle revienne. De toute façon je suis prête pour me coucher. Je ne porte jamais de chemise de nuit ni de pyjama : ma peau seule me suffit.Je m’assois dans un vaste fauteuil pour me soulager. Je ne regarde même pas devant quoi je suis. Mes mains caressent mes seins longuement. Ils sont rapidement durs comme mes tétons. J’insiste sur eux justement. Si ma main gauche ...
... reste sur un sein, la droite descend lentement sur le ventre pour chercher ma fourrure que je peigne avant descendre encore.J’arrête tout quand je m’aperçois que j’ai oublié de prendre mes godes dans la mallette. Je me fais des doubles pénétrations à la fin de mes masturbations. Je suis chagrine de cet oubli qui m’oblige à arrêter mon plaisir naissant. Je ne peux m’en passer. J’ouvre la mallette, sors mes « copains », me remets en position, cette fois les jambes sur les accoudoirs, je suis ainsi plus ouverte. Ma main va directement sur le clitoris. Je le caresse doucement en rêvant à la venue certaine de la patronne. Je fantasme déjà sur ses capacités de me donner ce plaisir que seules les femmes arrivent à donner aux autres. Ma main se transforme en SA main. Je ne peux plus retenir mon orgasme. Je jouis toujours avec elle en tête. Je passe à l’étape suivante : j’entre trois doigts dans ma gaine. Je suis sure de bien remplacer ainsi une bite.Ce n’est pas que je n’aime pas une queue dans la chatte ou même derrière, mais je n’aime pas le sperme : je préfère la cyprine d’une jolie fille.L’heure tourne, il me tarde qu’elle arrive. Ouf elle ouvre la porte. La première vision qu’elle a de moi est mon sexe largement ouvert vers elle. Je me rends compte maintenant que je m’expose ainsi sans avoir pensé à regarder la porte. J’aurais du me retourner pour lui faire la surprise.Elle s’approche lentement en ne regardant que ma main qui branle. Elle vient enfin m’embrasser. Nos langues se ...