Comment devenir... dingue ?
Datte: 15/09/2020,
Catégories:
grp,
inconnu,
nympho,
bizarre,
magasin,
contrainte,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
facial,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
fantastiqu,
Je courais. Dans un sens, c’était quelque chose de normal. Dans tout bon cauchemar, on court parce que le croque-mitaine n’est pas loin et qu’il a une dent contre nous. Ne faisant pas les choses à moitié, j’avais une myriade de croque-mitaines à mes trousses. Et puis comme j’ai des goûts de luxe, question monstre du placard, c’était des sortes de femmes qui me poursuivaient. Je ne sais pas comment les nommer autrement. Des cheveux longs et blancs. La peau aussi pâle qu’un cadavre frais, mais des lèvres rouges comme le sang. Elles avaient des seins proéminents, mais totalement dépourvus d’aréoles. Ah ! Elles n’avaient pas de nez non plus. Classique, quoi. Exactement le genre de filles qu’on s’attend à rencontrer lorsqu’on se perd dans une forêt de manteaux de fourrure, dans un Bazar, en plein centre-ville. La première fois que je rencontrai l’un de ces êtres, elle était dans un manteau, lui-même accroché à un portemanteau. C’est Marala, la bûcheronne que j’avais rencontrée dans la clairière, qui m’avait expliqué que ces choses n’étaient que les fruits des manteaux et que, lorsqu’on abattait le portemanteau, les fruits se détachaient de leur « gangue ». Mon premier contact, avec cette… femme fut assez sympathique, puisqu’elle s’occupa, avec art, de mon sexe. Jamais lèvres plus rouges n’avaient caressé ma queue avec autant de savoir-faire. Pauvre cloche que j’étais. Je ne sais pas si ce fut la douleur ou le plaisir qui me fit hurler, mais heureusement pour moi, cela alerta ...
... Marala qui n’était pas loin. Elle chassa la créature avec sa hache. La dame blanche ne demanda pas son reste et courut se cacher dans la forêt. — Z’avez de la chance, m’avait dit Marala. Mais maintenant, elles savent toutes le goût que vous avez.— Comment ça ?— Elles se nourrissent d’hommes exclusivement. C’est pour ça que moi, je ne risque rien. Elles les appâtent en leur suçant le sexe. Et une fois au septième ciel, ils sont foutus. Ce fut un peu écœuré que je quittai Marala. J’aurais bien aimé qu’elle me guide à travers la forêt, mais elle refusa, arguant qu’elle avait trop de travail. Elle me conseilla simplement de faire vite, car à présent j’étais une proie. Mais une fois quittée la forêt, m’assura-t-elle, je serais libre. Dans les branches des portemanteaux, j’entendais des mouvements rapides. Elles me chassaient bel et bien. J’étais en sueur, mais je ne ralentissais pas pour autant. Aussi, lorsque, sain et sauf, j’arrivai à la fin de la forêt, je m’étalai dans le rayon consacré aux animaux. Je me retournai, prêt à subir l’assaut, mais rien ne vint. Je repris mon souffle. Dans cette forêt, j’avais tout de même perdu Irina. Elle ne risquait rien de la part des créatures, mais j’aurais préféré l’avoir avec moi. Je l’avais sommairement décrite à Marala pour qu’elle l’aide, si jamais elle la croisait. J’attendis de reprendre mon souffle avant de continuer mon chemin. Je doutais de plus en plus de pouvoir retrouver Céline, mon amie, avec qui j’étais entré dans le Bazar. On ...