1. Resserrer les liens familiaux - Les Seychelles de Jacob (2)


    Datte: 12/10/2017, Catégories: Inceste / Tabou

    ... commencer à marcher, une série de gouttes de sueur se mettaient à perler sur nos tempes. La voiture était garée tant bien que mal sur le bas-côté de la route, faute de parking. Le sentier à peine visible s’enfonçait dans la jungle luxuriante de Mahé. — Hum, vous sentez le jasmin ? demanda Frank. Doit y en avoir un pas loin. — C’est vrai que ça sent bon, répliqua ma mère, comme par habitude. — Ça vous change de la ville, pas vrai les enfants ? — Oui, y’a pas de réseau ici, plaisantai-je. Il fallait reconnaître que malgré l’inconfort lié à la chaleur, les moustiques, et les ampoules aux pieds, cette escapade dans la nature avait un agréable côté dépaysant. Comme dans un bon stéréotype, les gars étaient plutôt bons en marche, et les filles trainaient à l’arrière, surtout Julie. Sur les conseils de mon père, je me décidai donc à fermer la marche pour la motiver un peu. À ce stade, il me faut préciser une chose. Dans la lutte éternelle qui fait s’affronter les amoureux de la courbe fessière contre les dévots de la poitrine sculptée, j’ai depuis longtemps choisi mon camp, et me place en tant que fervent défenseur du muscle postérieur. Il se suffit à lui-même, tant ses formes peuvent varier et nous surprendre, et ses atours changer radicalement son allure ; il est à la fois la promesse d’un entrejambe mystérieux, et un objet de désir en tant que tel, affiché au regard de tous. Les seins quant à eux ne sont au final rien d’autre que deux bouts de chair qui pendent, sans véritable ...
    ... fonction quotidienne, las de leur propre existence, on est contraint de les soutenir par un disgracieux procédé. Alors que le cul, lui, est indispensable, il représente des milliers d’années d’évolution, il représente le génie des Hommes qui ont su se relever sur leurs deux pattes, et marcher. C’est notre moteur, notre fierté en tant qu’espèce, un prestigieux héritage que je me plais à adorer parmi mes semblables, que ce soit dans la rue, ou au lit. En l’occurrence ici, sur un sentier. Car je ne pouvais rester insensible face aux fesses galbées de ma sœur que je connaissais si bien, et que je ne me lassais jamais de contempler. Elles étaient particulièrement bien mises en valeur par un mini-short en jeans moulant. Chaque pas était l’occasion de créer des plis délicieux dans cet agencement rebondi. Le tout formait une dynamique élégante : gauche, droite, gauche, droite, etc. Parfois son débardeur se soulevait légèrement, me permettant d’apercevoir le haut de sa culotte qui dépassait à peine, et dont on devinait la forme triangulaire. — Putain de moustiques, pesta-t-elle en se claquant le visage. — « sont chiants hein ? compatis-je. — On s’rait tellement mieux dans la piscine de l’hôtel à l’heure qu’il est… — Tiens au fait… J’avais commencé ma phrase sans trop savoir comment la terminer. Je voulais parler de ce qui s’était passé hier soir, mais je ne savais pas quel angle prendre pour ne pas avoir l’air trop étrange. — Quoi ? — Qu’est-ce que tu as pensé de ta petite séance d’hier ...
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