Christine I : Prémices et frustrations (2)
Datte: 16/09/2020,
Catégories:
Hétéro
... caresse l’entrejambe sans oser ouvrir mon pantalon. Je l’attire à califourchon sur moi, elle se frotte doucement avant de sortir ses seins de sa robe bustier. Je les goûte, les lèche, c’est tellement bon. Elle ne veut pas que je caresse ses fesses. J’allonge ensuite Christine sur le banc et plonge la tête entre ses jambes, sous sa robe. Elle essaye de les fermer puis, lentement, les rouvre. J’embrasse son string noir, l’embrasse et le lèche doucement, il est mouillé. La jambe droite de Christine tombe à terre tandis que la gauche prend appui sur le dossier du banc : la voie est libre. J’écarte lentement l’étoffe. Christine a joliment débroussaillé sa touffe en un triangle large mais tondu à ras. Je goûte à son sexe humide et très odorant. Ses lèvres, son vagin, sonclitoris. Insistant sur ce dernier, je glisse simultanément mon majeur dans son minou : "Non, pas dedans !". Le ton impératif me fait sortir immédiatement mon doigt et je me contente de la lécher. Elle gémit bruyamment. J’aspire et excite son petit bouton. Levant les yeux sur elle, je l’aperçois qui se caresse la poitrine, pétrissant ses seins, pinçant ses tétons. Elle tressaille et jouit, longuement. Je la laisse savourer cetorgasme. Elle s’assied à nouveau, son regard a changé. Elle m’embrasse, sa main vient à mon entrejambe, mais cette dois, elle ouvre ma ceinture, déboutonne mon pantalon ...
... et sort mon sexe. Elle memasturbe vivement, un peu maladroitement. Je l’attire sur moi, elle dit timidement non. J’insiste et elle reprend place sur mon sexe. Elle n’a pas remis son string en place et nos sexes sont l’un contre l’autre. Elle gémit. "Non ! Oh oui ! Arrête ! Encore !". Excitée mais gênée, Christine reprend place à côté sur le banc. Elle me branle à nouveau, je prends sa main et masturbe avec elle. Peu avant de jouir, je lâche sa main. Christine me fait jouir droit, le sperme gicle et retombe en grande partie sur sa main. Elle s’essuie, l’air un peu dégoûtée. Elle replace ensuite son string avant d’ajuster sa robe notamment au niveau de la poitrine. Elle sourit tristement. "On y va ?". Nous retournons à la voiture et je la dépose devant chez elle. Long bisou appuyé sur la joue. Le lundi, de retour en classe, Christine n’a pas l’air bien du tout. A midi, nous allons dans le parc et elle me dit à quel point elle regrette de s’être laissée aller. Je m’excuse, mais elle me dit que je n’ai rien à me reprocher. C’est de sa faute. J’ai été respectueux et si elle avait dit "Non", je me serais arrêté. Ce qui est vrai. Cependant, après quelques jours un peu distants, je retrouve vite la Christine "habituelle" et nous reprenons nos "jeux". Mais je me dis que je ne suis pas prêt de me retrouver à nouveau seul à seul avec elle. Je me trompe lourdement.