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Séduction délicate de la soeur de ma mère (21)
Datte: 17/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... me dirigeant vers le salon. Sur le mythique circuit de Monza je laissai filer la victoire à Oscar, trop heureux de battre son grand cousin. Leur mère une fois la cuisine rangée leurs intima l’ordre d’aller faire dodo, malgré l’insistance de Jules pour faire une autre course. Elle se montra intransigeante et les garçons obéirent à leur Maman. Pour leur dernière soirée, mes parents me firent des recommandations d’usage quant à mon futur job. Je les écoutai en pensant à autre chose, notamment à la sœur de ma mère que je m’abstenais de regarder. Tout en répondant aux diverses questions, je sentais bien que son attention se portait sur moi en n’arrêtant pas de croiser puis décroiser ses jambes bronzées, preuve qu’elle piaffait d’impatience de clore la soirée. — Oh Michel tu bailles, tu veux te coucher aussi ? S’interrogea ma mère concernant mon père. — Oui ne m’en voulais pas, mais la pêche m’a usée. Bonne soirée. Nous souhaita-t-il en quittant la pièce d’un pas lourd. — Moi qui voulais discuter avec ma sœur, ça tombe bien. Dis ma mère. — Alors je vous laisse entre vous et je vais fumer une cigarette sur la terrasse. — On te rejoint après… Rajouta néanmoins ma tante. Installé sur un transat, je savourai l’instant présent avec mon verre de rosé et ma cigarette. Il n’y avait pas un bruit sauf celui émanant du salon. J’avais volontairement laissé entre-ouverte la porte-fenêtre juste à côté de moi. Ma tante tout comme ma mère ne l’avait pas remarquée et bien évidemment ma cigarette ...
... s’éternisa au gré de leur conversation. Au début elles ne parlèrent que de shopping, des nouveaux magasins qui s’ouvraient sur Bordeaux puis ma mère enchaîna sur l’avenir. Préoccupée par la grossesse de sa sœur elle lui donna son point de vue. — Véro je suis contente pour toi, je te vois heureuse, radieuse de te savoir enceinte, mais tu ne crois pas qu’il faudrait que tu en touches un mot à ce jeune banquier ? — Non et de toute façon, c’est du passé et ça n’a duré qu’un seul mois, ne te tracasse pas pour moi. Et puis tu l’as dit je suis heureuse et mes enfants le sont également. — Tu vas élever trois enfants toute seule et tu n’as toujours pas de travail Véronique, tu comprends mon inquiétude. — Écoute Patrick m’a parlée, il connait une boite qui recherche une assistante de direction bilingue et en plus c’est bien parti pour qu’il y bosse, alors s’il peut m’aider je vais saisir l’occasion. Dit-elle avec enthousiasme. — Tu vas travailler dans la même société que ton neveu, mais ma parole vous êtes inséparables. Il habite chez toi, il s’occupe de tes enfants…heureusement que c’est mon fils. Rajouta-t-elle interloquée. — Que veux-tu dire par là ? — S’il ne faisait pas partie de la famille, j’aurai la fâcheuse impression qu’il profite de la situation et de toi ! Bon je ne voulais pas le demander devant tes enfants, accepterais-tu de me les confier pour une semaine, je les emmènerai voir la tour Eiffel. Proposa-t-elle. — Volontiers Anne, dis leurs demain ils vont être fous de joie. ...