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Séduction délicate de la soeur de ma mère (21)
Datte: 17/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... pour m’inviter à m’asseoir sur le lit. — Ah tu veux que je me mette en tailleur et venir sur moi. Lui dis-je en prenant la position désirée. — Oui on ne l’a jamais fait et j’ai besoin de tendresse ce soir Patrick, je veux te sentir profondément en moi. Rajouta-t-elle en s’installant sur moi. Ainsi j’étais parti pour baiser ma tante dans la fameuse position dite du lotus. De ce fait elle enroula ses jambes autour de ma taille et m’entoura la nuque en prenant soin de guider ma verge reluisante de sa salive, dans sa source dorée. Nous fûmes dans une union complète, nous faisant face à face. En la maintenant par la taille j’imprimai de légères pressions sur ses fesses pour lui donner le tempo. Véronique tout comme moi découvrions cette nouvelle position hautement sensuelle, avec laquelle nous pouvions nous embrasser autant que nous le souhaitions de même que nous caresser. Nous ne nous en privions point en mêlant nos souffles dans cette réunion de nos corps si intime. — C’est merveilleux Patrick ce que nous faisons. Dit-elle entre deux baisers. — Oui. En l’embrassant à pleine bouche. — J’ai honte de le faire quand tes parents sont présents. Me confessa-t-elle en se serrant contre moi en oscillant son bassin avec énergie. — Oui, mais tu le fais quand même ! Regarde-moi. Lui dis-je tandis que mes corps caverneux se mirent à l’unisson dans l’idée d’embraser ma sublime partenaire. — Hannn Patrick…hann… Gémit-elle en me fixant des yeux pour s’apprêter à recevoir son dû. — Oh oui ...
... t’es ma nana ! En pétrissant ses fesses fermement. — Hummm…continue mon mec à moi… Notre jouissance commune passée, nous restâmes ainsi une dizaine de minutes. L’instant prit une tournure presque étrange. Nous ne fîmes que de nous regarder agrémentés de caresses discontinues, comme si chacun admirait le visage, le corps de l’autre. Puis une légère larme parsema le doux visage de Véro. — Qu’est-ce que tu as ? lui demandai-je en passant ma main sur sa joue. — Je ne sais pas, je suis si heureuse et je ressens une telle émotion en te regardant… S’émut-elle une nouvelle fois avec une pluie de diamants se déversant de ses paupières. — À chaque fois que je te le dis, j’ai l’impression que je suis dingue, mais je t’aime Véronique. En la fixant intensément. — Et moi donc ! Je suis folle de faire ça avec toi, mais c’est trop génial et je suis si amoureuse de toi. En m’offrant sa bouche sans retenue. Je pris congé avec paresse me réjouissant déjà pour le lendemain. Pas à pas je regagnai ma chambre pour y trouver un sommeil mérité. Mes parents nous quittèrent de bonne heure, emmenant leurs neveux direction la Capitale. Leur mère leur recommanda d’être bien sage et d’écouter Tatie Anne. Comme convenu ma tante devait les rechercher le week-end prochain et j’avais prétexté un entretien pour ne pas être du voyage. Ils étaient partis si tôt que Véro n’avait pas eu le temps de s’habiller, elle était restée en robe de chambre pour mon plus grand bonheur. Je lui avais proposé de reprendre un café ...