La voix de l'amour
Datte: 18/09/2020,
Catégories:
f,
h,
fh,
extracon,
Collègues / Travail
Masturbation
Oral
... caressait frénétiquement comme à son adolescence. Cette constatation la fit sourire. « Je revis, je redeviens si femme, si aimante. J’ai envie d’aimer, mais surtout de me faire désirer ». Elle s’endormit sur ces belles pensées. La journée du lendemain débuta joyeusement. Victoria se tortillait sur son fauteuil au comptoir du standard. Elle était en train de lire un mail de Balou. Ce message lui enflammait les sens. « Il est accro à moi, c’est dingue », se dit-elle. Victoria lui retourna un petit mot doux qui, elle l’espérait, tempérerait ses ardeurs. « Je ne peux pas en faire plus pour l’instant, j’ai trop peur du scandale », cette pensée la taraudait depuis hier. Mais en même temps elle désirait ce garçon. Son ventre criait famine, elle se liquéfiait lorsqu’elle se rappelait leur léger flirt après le déjeuner. Les journées s’écoulèrent ainsi jusqu’à la l’inauguration du nouveau centre logistique de l’entreprise. La fête battait son plein. Les salariés étaient conviés à une sorte de buffet, qui faisait suite à toute une série d’allocutions de la direction générale. Naturellement, Victoria et Balou s’étaient vite retrouvés dans la cohue générale. En ce vendredi soir, tous les locaux administratifs étaient forcément vides. Tous deux s’esquivèrent lors du repas. Balou prit la main de Victoria, et lui dit : — Allons dans mon bureau, nous serons mieux.— Vite alors, il ne faut pas qu’on remarque notre absence, renchérit-elle. Ils se faufilèrent dans les coursives et escaliers de ...
... secours. Mais en grimpant les marches, tous deux se rendirent compte qu’il ne servait à rien de se presser, le bâtiment administratif leur appartenait. Au premier niveau, Balou se retourna vers Victoria. La lumière verte de la veilleuse les éclairait. Il attira Victoria à lui en lui murmurant au creux de l’oreille : — Vicky, j’ai envie de toi, là de suite. Elle le regarda intensément, se mit sur la pointe des pieds, puis colla sa bouche à ses lèvres. Leurs langues jouaient, se taquinaient, enfin ils allaient fusionner complètement. Balou laissa immédiatement ses doigts partir à la découverte du corps de sa Déesse. Ses mains soulevèrent sa robe du soir, puis sa bouche embrassa les épaules nues. Ensuite il ôta les fines bretelles, la robe tomba aux pieds de Victoria. En escarpins et en string, elle entama une danse lascive devant lui. Il admirait sa ronde poitrine qui tressautait, ses cuisses musclées, ses fesses callipyges. Ensuite, il s’agenouilla devant elle, sa bouche se colla sur son ventre chaud. Elle appuya la tête de Balou contre son intimité. — Allonge-toi, ma chérie, je vais te boire. Victoria gémit, elle laissa son bien-aimé arracher le mince tissu avec ses dents. — Oui, mon lion, fais-moi jouir, geignit-elle. Nue, couchée cuisses écartées sur la moquette des coursives, Victoria se laissait butiner par son amoureux. Elle sentait la langue chaude et longue fouiller loin, très loin en elle. Les lèvres de son amant suçaient son bourgeon. Son abricot imberbe lui envoyait ...