Mon histoire de travesti (1)
Datte: 18/09/2020,
Catégories:
Transexuels
... dans cette grande maison vide. A peine la porte fermée à clé, j’entrepris d’aller fouiller la garde-robe de Virginie. Il était 15h30 et cette dernière ne serait pas de retour avant 19h. Je poussais donc la porte de la suite parentale, mes pas faisaient grincer le parquet. J’ouvris la commode aux merveilles. Mes yeux se sont repus de tout cet étalage de tissus, de matières. Dans ma tête je me demandais comment une femme comme Virginie, sous ses airs de bourgeoise, pouvait porter de telles parures de femme coquine. Je plongeais mes mains dans l’amas de dentelle, de nylon et de lycra pour en ressortir trois pièces: un string bleu et noir style camouflage de la marque Kenzo, un soutien-gorge assorti et une paire de collants noirs. Sans plus d’hésitations je me suis mis nu dans cette chambre et j’ai commencé à enfiler délicatement la lingerie. Mon excitation était à son comble lorsque je remontais la ficelle du string dans ma raie. Ma verge était à deux doigts d’exploser sous l’effet de la lingerie. Mais je devais me retenir, ne pas jouir dans ce fabuleux bout de tissu. Je passais ensuite le soutien-gorge, étant menu cela ne posait aucun souci. Puis enfin les collants. Pour moi ça y était, j’étais devenue Virginie. Une belle poupée en lingerie coquine, un aimant à hommes. Mon sexe était bien moulé dans son string et ne dépassait pas d’un pli malgré mon érection. Mes fesses fendues par la ficelle étaient devenues féminines, et mes jambes interminables grâce à l’effet des collants. ...
... Je m’admirais dans le miroir, j’étais imberbe donc pas de vilains poils à l’horizon. Une vraie femme, mis à part mon visage masculin. Je caressais mon corps à travers les matières et ce qui devait arriver arriva, mon présperme tacha d’une grosse auréole le string de mon égérie. Pas le choix... Je vais devoir le subtiliser... Bref, après quelques caresses douces et soyeuses, je me rendis dans la salle de bain pour parfaire ma copie de Virginie. Ne sachant pas me maquiller ni me démaquiller j’optais pour un peu de parfum et du rouge à lèvres. Puis en fouillant sous la vasque, j’ai été pris d’une forte décharge électrique en tombant sur les tampons de ma dentiste. Des tampons avec applicateur, si tu veux devenir Virginie il faut agir comme Virginie me dis-je. Sans hésiter plus longtemps je me saisis d’un tampon et je commence à lire la notice. Cela ne me paraissait pas bien compliqué à mettre en place il suffisait de remplacer le vagin par l’anus et je deviendrais une vraie petite Virginie. Avant de m’introduire ledit objet, j’empruntais à Virginie une paire de ballerines rouge puis je me suis à nouveau rendu dans la salle de bain. J’ai déballé mon petit tampon, j’ai baissé mes collants, décalé la ficelle du string et j’ai mis l’applicateur à l’orée de ma rondelle en l’enfonçant légèrement afin que le tampon s’insinue en moi. tkrtllxu Ce contact m’électrisa une fois de plus. J’avais l’habitude de me doigter mais jamais encore un tampon n’était venu combler mon trou encore vierge ...