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Mamie Geneviève (9)
Datte: 18/09/2020, Catégories: Inceste / Tabou
... qu’il lui faut combattre ses préjugés et vaincre son inhibition. Je ne sais pas d’où ça m’est venu, je crois aussi que c’est pour détailler son joli corps d’éphèbe. Pudiquement, il cache son sexe et je l’invite à s’asseoir. Puis, nous bavardons, essentiellement de sa mère, et il finit par se détendre, sans pour autant, découvrir son sexe mou. J’en rajoute un peu, en croisant haut, les jambes, en lui exposant le profil de ma poitrine à toute occasion. Je lui demande : « Et si tu détendais ! Enlève ta main. Voilà, comme ça ! Ouvre tes jambes maintenant… » Il s’exécute, un peu honteux. Je reprends la conversation avec des banalités et ses yeux détaillent chaque centimètre carré de mon anatomie. Je crois que ma tenue lui plaît beaucoup. Sa verge frétille un peu, mais n’est pas bandée. Je l’invite alors à venir m’aider à préparer le repas et il me suit, moins gêné de sa nudité. Il a un physique agréable à regarder et je ne me prive pas de lui flatter les fesses. C’est beau les fesses d’un homme jeune ! Progressivement, il prend de l’assurance et m’enlace par derrière. Ce que je sens sur ma cuisse, puis qui appuie entre mes fesses est dur comme du fer. Bien que ça puisse me chauffer instantanément, je lui dis : « Pour la confiance en soi, je pense que c’est bon ! Maintenant, la patience, la maîtrise, tu vas t’appliquer à respecter une femme. Tu vas être délicat, tout en douceur … » Ce rôle de préceptrice m’amuse beaucoup. Quand je repense, qu’il y a peu, j’étais si coincée ! ...
... L’arrivée de David dans ma vie a été une révélation. Outre l’aspect sexuel pour lequel je ne lui ai rien opposé, il m’a fait prendre conscience de moi, une femme avant d’être mère, grand-mère et même la veuve d’un minable. « Caresse moi les pieds » Je ne cherche pas à le dominer, juste à déplacer des limites, afin qu’il puisse investir son territoire de confiance en lui. Il s’accroupit et me masse le pied que je lui soulève. C’est sensuel, mais quand il remonte ses mains pour emprisonner mon mollet, je sens une vague de plaisir me chavirer. Il est doué, c’est sûr ! Je reprends mes esprits pour lui dire : « Relève toi et saisis moi ! » D’un bond, il se redresse et m’étreint avant de chercher ma bouche à embrasser. J’en meurs d’envie, mais il me faut continuer à jouer mon rôle d’éducatrice. « Tsst ! Mon garçon, il faut être patient ! Imagine que tu doives atteindre le sommet d’une montagne. Il te faudra d’abord passer par des chemins escarpés, le sommet sera ta récompense. » Je n’en reviens pas moi-même, je lui exprime tout ce que je souhaiterais. Pour ma défense, je ne pense pas qu’il y ait beaucoup de femmes qui aiment le ‘bonjour, crac-crac, au revoir ! ‘. Cela, sans tendresse aucune ! Ça existe probablement, mais moi je préfère une montée progressive de l’intensité charnelle. Mon Bastien comprends vite, malgré la tige rigide que je sens sur mon ventre, il s’attache à y aller délicatement. Il écarte la bretelle de ma robe et dépose ses lèvres sur mon épaule. Il me bise avec ...