Les amis de ma mère... (3)
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
Gay
Je crache le dentifrice dans le lavabo et me nettoie la bouche. Me regardant dans le miroir, je remarque une longue trace blanche traversant mon visage, marque de la faciale prodiguée par Olivier. Ma queue est dressée, le souvenir de cette nuit m’a beaucoup excité... je reste quelques instants immobile, tête baissée et yeux fermés, pensif. Je pense a la queue énorme de Sébastien dans ma bouche... A celle d’Olivier dans mes fesses... celle de Séb étant plus longue, il doit y aller un peu plus doucement, Olivier comble la différence de longueur avec des coups de reins plus violents, ce que je préfère pour mon derrière... En parlant de mon derrière, je sent que j’ai encore le trou béant, avec tout ce que j’ai pris cette nuit, il est resté grand ouvert. Pris dans mes pensées, je n’ai pas entendu que quelqu’un arrivait derrière moi, je ne le remarque qu’au contact contre mes fesses. Une main viens courir le long de ma cuisse jusqu’à mon cou, passant par mon téton et courant sur ma nuque. Elle passe dans mes cheveux, derrière les oreilles, redescend sur la nuque... Avec ma main gauche, je viens l’accompagner, mais aussitôt, il m’attrape fermement le poignet et me bloque fermement. Le bras, passé devant mon torse, tenant mon autre bras, je suis complètement immobilisé, je n’ai même pas la possibilité de relever la tête pour regarder dans le miroir. Il me tiens ainsi, bloqué contre le lavabo, je sent sa queue raide frotter sur ma raie. De haut en bas, je peut jauger sa longueur, ...
... je sais maintenant qui est derrière moi. Il positionne le gland sur mon anus et pousse doucement, par petits à-coups. Lentement, sa queue élargie mon sphincter, sans grands efforts. Je sent que je mouille du cul, sûrement du sperme restant de cette nuit ... Cela fera office de lubrifiant. Encore quelques pressions, et mon anus s’ouvre, laissant la colonne de chair m’embrocher, elle glisse d’un seul mouvement jusqu’à la garde. Doucement il se retire, et toujours avec douceur, il me pénètre à nouveau. Son bassin vient se poser sur mes fesses à chaque pénétration. De cette manière il réhabitue très rapidement mon cul à se faire baiser. Et quand il le juge capable de supporter un rythme plus élevé, ni une ni deux, il l’accélère. C’est le jour et la nuit, d’une pénétration sensuelle et douce, ça s’est transformé en baise torride. Plus de considération, je suis devenu un défouloir, un objet destiné a purger mon enculeur. Celui-ci n’y va pas de main morte, glissant toujours de toute sa longueur, il est beaucoup plus violent dans ses gestes. A chaque fois, il claque violemment mes fesses, comme pour me pénétrer plus profondément, puis il ressort pour revenir encore plus fort... Il lâche ma main et libère mes bras, mais m’attrape par les cheveux, plaçant ma tête dans le lavabo, de sorte à pouvoir déboîter mon cul ainsi offert. CLAC! CLAC! CLAC! C’est le bruit de ses boules contre mes fesses. Mais ce qui fait encore plus de bruit que ça, c’est moi. Je gémis, pas de douleur, mais de ...