1. Ce n'était qu'une simple soirée (11)


    Datte: 18/09/2020, Catégories: Hétéro

    Après avoir embrassé les quatre filles, je me rends dans un village à l’extérieur de la ville. L’anniversaire est organisé dans un salle des fêtes. Je passe une excellente soirée, revoyant à cette occasion de nombreuses vieilles connaissances, notamment Julie, avec qui j’étais sorti lorsque j’avais 19 ans. Séparée elle aussi, elle me fait un discret rentre-dedans qui n’est pas pour me déplaire et j’avoue que je ne pense à aucun moment à la soirée qui se déroule chez Jennifer. A 2h du matin cependant, la soirée se termine et les invités encore présents repartent assez rapidement. Il est vrai que le lieu de l’anniversaire, un village isolé, rend compliqué la poursuite de la soirée. Je raccompagne Julie à sa voiture. — Tu es toujours aussi élégante. Cette robe te va à ravir. Elle la soulève légèrement. — C’est ma robe qui te plait ou ce qu’il y a dessous ? — Je vois que tu n’aimes toujours pas les collants ! Elle rit. — Non, ça n’a pas changé. Que des bas ! — Autofixants ? — Pas toujours. Son sourire est magnifique. — J’adorais te voir en porte-jarretelles. Elle se mord la lèvre inférieure. — Il n’y a pas que ça que tu adorais. Julie s’agenouille, déboutonne mon pantalon et sort mon sexe. Elle me suce. Court et vif. Elle se relève. — Ça me ferait plaisir de te revoir. Nous échangeons nos numéros de téléphone et nous quittons sur un baiser. Enhardi par cet épisode piquant, je décide alors de retourner chez Jennifer sans prévenir les filles. Il est 3h du matin lorsque je me gare ...
    ... devant la maison. J’entre par le jardin. Pas de bruit, pas de rire, pas de musique, rien. Tournant derrière la maison, j’aperçois piscine allumée, mais sans personne à l’intérieur. Encore quelques mètres et j’arrive sur la terrasse. La soirée a laissé des traces. Mon regard est attiré par le canapé car l’une des filles dort dedans. Je contourne la table et… m’immobilise devant une immense flaque de vomi. Dans mon dos, un cri strident ! Je me tourne vivement : c’est Caroline. — Oh mon Dieu, c’est toi ! Tu m’as fait une de ces peurs ! — Qu’est-ce qu’il s’est passé ici ? Quel bordel ! — Ne m’en parles pas ! C’est n’importe quoi ! Quand tu es parti, on a commencé à boire et on a vite été pompette. Surtout Vanessa. Elle s’est persuadée que tu reviendrais assez vite, que tu allais écrire un message avant de revenir et elle a échafaudé un accueil pour ton retour. — Pffff… N’importe quoi. — C’est ce que je lui ai dit. Tu avais été assez clair en partant. Mais Vanessa a su aiguiser l’intérêt d’Elise et Jenny et elles ont décidé que nous t’attendrions les quatre sur le canapé de la terrasse, nues et… Elle s’interrompt. — Et ? — Et complètement rasées ! J’éclate de rire. Caroline sourit jaune. — Et donc ? — Et donc, on s’est toutes complètement rasées ! Alors on a continué la soirée, mais c’est comme si on attendait ton message. Et comme tu ne donnais pas signe de vie, elles ont bu, bu et encore bu. — Pas toi ? — Non. Avant de manger, j’avais senti ma tête tourner et j’ai arrêté de boire ...
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