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Lies
Datte: 19/09/2020, Catégories: Transexuels Partouze / Groupe humour, policier, sorcelleri,
... Miss London, bobardai-je, je n’ai qu’une touche à appuyer pour envoyer tout le contenu de ces disques sur le net. Cela ramena instantanément le calme dans le couloir. — À quoi cela vous servirait-il de ruiner ainsi notre communauté et l’honneur de toutes nos sœurs ? me rétorqua la gouroune. Mais je ne l’écoutais pas. Je n’avais même pas envie de discuter avec elle. J’affichai la salle de réunion sur le moniteur principal. — Pauline, tu m’entends ? essayai-je en français. Je la vis acquiescer sur l’écran. — Sors d’ici et fonce prévenir les flics qu’Anita London n’est qu’une vulgaire maquerelle qui a trouvé des poules aux œufs d’or en montant sa secte. Demande-leur de venir nous sortir de là. Elle avait quand même l’air d’hésiter. — Pauline ! S’il te plaît ! Fais-le pour nous ! hurla Laetitia en m’arrachant le micro des mains. Dans le couloir, ça s’énervait de nouveau. Susan Holmes était en train de traduire nos paroles à sa chef qui s’agaçait en lançant des ordres de partout, mais toutes ses apôtresses semblaient pinailler. Pauline sortit finalement de la salle de réunion, avec une autre nana qu’elle avait l’air d’avoir convaincue. Pendant que Laetitia s’était remise à répandre la bonne parole et à désavouer la mère London, je suivis sur les moniteurs le chemin que les deux filles devaient prendre. Et grand bien m’en fit car je pus la prévenir que la dickgirl-médecine, sans doute restée fidèle à sa maîtresse, leur fonçait droit dessus pour les intercepter. — Attention, ...
... Pauline ! beuglai-je en français en attrapant le micro. Y en a une grosse balèze qui vous fonce dessus, elle est juste après le tournant ! Notre jolie brunette recula en hâte avec sa collègue jusqu’à un extincteur mural qu’elle décrocha péniblement juste quand l’armoire à glace chevelue allait lui tomber dessus et elle balança tout un puissant de jet de neige carbonique dans la tronche de la Chewbaquette qui en tomba à la renverse, leur libérant le passage. Je respirai enfin quand Pauline disparut du champ des caméras et sortit du bâtiment. Il n’y avait sans doute plus qu’à attendre. *** Les minutes passaient, interminables. J’avais coupé le son provenant du couloir, où le débat n’avançait guère, Anita London essayant de rameuter ses troupes en bobardant je ne sais quelle ineptie pour justifier de ces enregistrements et de ce qu’elle faisait du fric. Laetitia en avait eu assez de prêcher quasiment dans le désert et avait raccroché le micro pour continuer à fouiller dans les tiroirs et les rangements du local de surveillance et du bureau. Les dickgirls qu’étaient pas venues pour tenter de nous péter la gueule et étaient d’abord restées dans la salle de réunion avaient finalement rejoint les autres et semblaient attendre prudemment l’éventuelle arrivée des flics. Et moi pendant ce temps-là, je zonais sur internet depuis l’ordi de la gouroute. Je m’étais persuadé qu’une organisation comme la sienne laissait forcément des traces sur la toile. Mais la recherche sur les dickgirls ou les ...