Lies
Datte: 19/09/2020,
Catégories:
Transexuels
Partouze / Groupe
humour,
policier,
sorcelleri,
... encore le rez-de-chaussée, et le plan apparut. — Là ! fit-elle en posant le doigt sur l’écran. Regarde, on peut y aller par ici, ça communique avec le bureau. *** Le local de surveillance était digne des trucs du FBI qu’on voit à la télé dans la soupe de polars scientifiques qu’on nous sert à tout va. On n’osait toucher à rien, de peur de déclencher des conneries dans tous les sens. Sur le côté, un meuble était rempli de DVD, dont certains étaient étiquetés d’un nom ou d’un commentaire. — Ça, pour le coup, c’est facile à vérifier, dit Laetitia en enfournant un disque dans le lecteur d’un des ordinateurs qui nous entouraient. La vidéo se lança automatiquement ; sur l’écran, deux dickgirls étaient en train de baiser, l’une pénétrant l’autre en la branlant, visiblement au bord de la piscine que nous avions vue plus bas. Le son pourri et l’image fixe semblaient indiquer que la scène avait été filmée par l’une des caméras qui ornaient toutes les pièces du bâtiment. — Qu’est-ce que c’est que ça ?— Euh… une scène de cul, je dirais…— Merci, Gufti ! Ça, je vois bien, mais…— À mon avis, ce genre de vidéos se vend bien. Tu vois, on se demandait d’où venait le fric…— Putain ! Et tu crois que ces nanas sont au courant ?— Bah sans doute pas, non, mais bon… elles seraient encore capables de trouver que c’est normal et que c’est pour le bien de la communauté. Mais attends, j’aimerais plutôt comprendre comment faire fonctionner tout ce bordel… Pendant que Laetitia hallucinait en passant à ...
... la scène suivante où deux dickgirls se papouillaient en soixante-neuf, je tentai quelques manips sur la console de la surveillance vidéo. Visiblement, les caméras étaient classées par niveaux, puis par zones. En actionnant un pavé numérique, je parvins à afficher sur le moniteur principal une vue de la salle de cinéma, évidemment déserte. Je tapotai au hasard et arrivai à la piscine, puis à un couloir. — Oh ! Regarde ça ! Sur l’écran de son ordi, c’était une véritable partouze ! Ça baisait, ça suçait, ça léchait de partout ! Une dizaine de nanas qui avaient toutes une bite plus ou moins grosse se prenaient l’une l’autre ou même à plusieurs, dans tous les sens. — Ça t’excite ? demandai-je en rigolant.— Pffff ! Ça me dégoûte, oui !— Ah bon ?— Pas ce que je vois, ça j’aime bien, mais plutôt ce que fait l’autre connasse !— La gentille Miss London ?— Oui, c’est ça ! La gentille et dévouée Miss London !— Ah tiens ! Ça y est ! Viens voir ! J’avais réussi à afficher une vue de la salle de réunion. C’était pas top, on ne voyait que la moitié de la pièce ; mais c’était la bonne moitié : Anita London, debout près de la table, à côté de Pauline, semblait s’adresser aux autres nanas. — Tu peux pas foutre le son ?— Tiens, essaye de prendre ce casque. Pendant qu’elle l’ajustait, je tapotai encore d’autres trucs jusqu’à afficher sur les moniteurs secondaires les champs des autres caméras de la salle de réunion. — Alors ? Qu’est-ce qu’elle dit ? me renseignai-je.— Des conneries…— Ah bon ? ...