Le plaisir primitif par ma soumission
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
Entre-nous,
Les hommes,
Le plaisir primitif par ma soumission Il s’agit là d’une troisième histoire avec ce noir massif que j’ai rencontré à la fac. On s’y était rencontré, il m’avait baisé puis foutu dehors. Plus tard on s’était revu au hasard des allers et venues sur le campus et il m’avait convaincu de le suivre dans sa voiture puis chez lui où il m’a forcé à lui faire des gorges profondes. C’est clairement un salaud manipulateur, mais ce salaud baise tellement bien. Et surtout je l’ai dans la peau. Je n’y peux rien : je ne peux pas lui résister. Ce n’est pas qu’il me contrôle, mais à son contact, c’est tellement bon de perdre le contrôle que j’ai sur moi-même. Avec lui, mon cerveau se déconnecte automatiquement et seuls mes instincts primitifs guident mes pas et mes gestes. Je perds toute inhibition pour redevenir un animal suivant ses plus bas instincts. Et ces instincts naturels me poussent naturellement à me soumettre à lui quand il me le demande, sans me poser de questions. Est-ce une relation saine ? Sûrement que non, mais mes instincts primaires n’en ont cure. Suis-je un trou pour baiser, qu’il appelle quand il en a envie ? Certainement. Et j’aime ça. Quand il m’appelle, je cours pour sentir son corps et son animalité m’envahir. Car ensemble, nous somme des animaux ; lui le lion dominant, et moi la gazelle, sa proie. L’autre jour, il m’a appelé pour passer. J’ai abandonné tout ce que je faisais pour le retrouver chez lui. J’étais déjà commandé par mes instincts de soumis. Une fois sur ...
... place, je fus surpris d’apprendre que lui et son colocataire partaient faire une partie de foot dans le parc. Il m’a dit d’attendre son retour dans sa chambre. Puis ils sont partis. J’étais seul chez lui et j’en ai profité pour fouiller dans ses affaires. Instinctivement, j’ai commencé par le bac à linge sale et j’ai sorti ses tee shirts et caleçons pour sentir son odeur de mâle puissant. Enivrant… J’ai également fouillé dans sa poubelle et j’ai vu des capotes usagées remplies de sperme. Je savais qu’il avait une fiancée mais il ne devait pas utiliser de préservatifs avec elle. Je n’étais donc pas sa seule pute. Ça aurait dû me gêner mais finalement, non. Mon mâle peut avoir d’autres putes, c’est son droit de dominant. Je faisais partie de son harem, et surtout, il n’utilisait aucune capote avec moi ; j’avais le droit à son sperme. Avoir couru jusqu’à chez lui m’avait fait transpirer, et mon excitation et la chaleur caniculaire de ce mois de juillet 2015 n’arrangeaient rien. J’étais en sueur. Il est finalement rentré avec son pote. Tandis que celui-ci est allé dans sa chambre, mon mâle m’a rejoint dans la sienne, où je l’attendais en caleçon, allongé sur son lit. Quand il est entré, il s’est dévêtu, et son corps était luisant de transpiration. Ça a rendu l’animal primitif que j’étais devenu fou. Ce corps massif recouvert de sa sueur bestiale… Je me suis collé contre lui et, instinctivement, ai ressenti le besoin de lui lécher tout le corps. Sa peau, qui en temps normal a un goût ...