1. Jeux de voisins, jeux de vilains (1)


    Datte: 27/06/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... m’appelle Alice. Voici mon époux Pierre et mes enfants Justine et Paul. Nos voisins se présentèrent également sous les noms de Philippe pour le père, Carole pour la mère, Elisa pour la fille et Alphonse pour le fils. Les échanges furent plutôt banals et concernaient principalement la santé, le travail et les formations suivies. De fil en aiguille, Philippe finit par proposer de nous inviter à dîner. Après s’être concertés, mes parents finirent par accepter la proposition en se disant que cela permettrait sans doute de tisser des liens plus étroits avec cette famille. Après avoir pris une bonne douche et nous être habillés, nous nous rendîmes tous les quatre chez Philippe et Carole pour le repas du soir. L’accueil fut à l’image de celui du premier deux heures plus tôt : chaleureux, souriant et spontané. Philippe et Carole nous guidèrent jusqu’à la salle à manger dans laquelle Elisa et Alphonse s’occupaient de mettre la table. Ma soeur et moi proposâmes notre aide aux deux enfants tandis que ma mère et Carole s’affairaient aux fourneaux. Mon père et Philippe, eux, se contentèrent de parler tranquillement des dernières actualités en attendant l’heure du repas. Le dîner fut un franc succès. Les olives et les rissoles servies en entrée furent tout bonnement délicieuses. La dinde qui servit de plat principal avait été préparée avec brio et soigneusement présentée. En guise de dessert, Carole nous servit des coupes de glace accompagnées de framboises qu’elle avait cueillies dans ...
    ... son jardin. Lorsque nous eûmes fini de manger, ma soeur et moi aidâmes Elisa et Alphonse à faire la vaisselle puis demandâmes la permission de quitter la table. Les deux filles allèrent ensuite s’enfermer dans la chambre d’Elisa tandis qu’Alphonse et moi options pour faire quelques parties de Call of Duty sur sa Playstation 4. Tout concentrés que nous étions sur nos armes et les ennemis que nous devions abattre, nous ne nous rendîmes pas compte du temps qui passait. Tant et si bien que nous fûmes surpris de recevoir la visite d’Elisa et Justine qui se demandaient ce que nos parents respectifs pouvaient bien avoir à se dire pour que nous restions aussi longtemps dans la maison. En effet, la nuit était déjà bien avancée et la lune éclairait le ciel noir de sa faible lueur. Alphonse consulta l’horloge qui trônait sur sa télévision. — Purée ! Il est déjà trois heures du matin ! On va voir ce qu’ils font en bas ? — C’est justement ce qu’on allait vous proposer. Nous sortîmes donc tous les quatre de la chambre d’Alphonse et descendîmes lentement les escaliers menant au rez-de-chaussée, tout de même un peu inquiets de ne pas avoir eu de nouvelles de nos parents respectifs. Dans la salle à manger et dans la cuisine, les lumières étaient éteintes, preuve évidente de leur fin de discussion. En ressortant de la cuisine pour nous diriger vers le salon duquel nous parvenait de la lumière, nous entendîmes des gémissements provenant de la pièce. Elisa et Alphonse furent les premiers à passer ...