1. Je me suis découvert au boulot. (2)


    Datte: 19/09/2020, Catégories: Transexuels

    ... parlerait de moi au féminin un jour et surtout pendant que je serais en train de faire une turlutte à un homme. J’ai facilement sucé mon patron une demi-heure j’ai senti qu’à plusieurs reprises il se retenait et j’ai surtout fait ça avec gourmandise. Ce jour-là moi qui n’était pas très content avec les gestes déplacés de Claude, je commençais à les apprécier et en plus je prenais plaisir à lui faire une gâterie. Mon patron a été patient mais il a fini par avoir ce qu’il voulait son employé mâle qui était là devant lui en train de le soulager sexuellement. Jamais je n’aurais cru en arriver là mais j’étais quand même maintenant accroché aux cuisses de mon patron pour essayer de faire aller son sexe le plus loin possible dans ma gorge. Manifestement mes prestations lui plaisaient énormément et ce qui devait arriver arriva. Il m’a balancé plusieurs grandes giclées de liqueur dans ma bouche. J’ai voulu recracher le tout mais il ne m’en a pas donné l’occasion, il m’a imposé de tout avaler chose que je fis quand même sans trop me faire prier. J’ai dû continuer à le sucer quelques temps même si son Braquemard avait un peu diminué de taille, il fallait que je le nettoie. En quittant l’ appartement il m’a dit que j’étais bonne et qu’il allait faire plein de choses avec moi car j’avais un très gros potentiel. Malgré les événements j’ai réussi à dormir quand même une bonne heure, puis je suis redescendu bosser comme si de rien n’était. J’ai eu le droit à des regards pleins de ...
    ... sous-entendus de sa part. Cet après-midi là il n’y a pas eu de problèmes et je suis rentré tranquillement le soir à la maison. Le lendemain quand je suis arrivé toujours à la même heure et un peu en avance Claude m’attendait. Pour la première fois j’ai eu le droit à une bise de sa part, une bise très insistante. Je n’ai rien dit de toute façon je ne trouvais pas ça désagréable c’est limite si je n’aurais pas préféré qu’il me roule une pelle. Ensuite il m’a tendu un gros sac où se trouvait plein de vêtements et même une paire d’escarpins, il m’a aussi donné une clé. Il m’a expliqué que désormais l’appartement serait fermé à clé et que seul lui et moi en aurions la clé. Il allait monter le sac à l’ appartement de telle façon à ce que désormais quand je prendrais ma pause il aimerait bien que j’enfile les vêtements qu’il m’a donné. C’est vrai qu’avec tout ce qui m’a mis dans le sac j’avais de quoi remplir une penderie. Il m’a dit qu’il me rachèterai des choses au fur à mesure, histoire de compléter ma garde-robe. Voilà comment, quand je suis monté à l’appartement pour aller prendre ma pause j’ai découvert un placard avec tout plein de vêtements féminins. Quand j’ai vu tout cela je me suis tout de suite dit qu’il fallait que je pense à fermer la porte chose que je n’avais pas faite, je me suis empressé d’aller le faire. J’appréciais beaucoup le fait que Claude ait beaucoup de goût et surtout le compas dans l’ œil car mesure en plus d’un mètre 80 il a trouvé à ma taille. Même les escarpins ...
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