Je me suis découvert au boulot. (2) - Histoires de Sexe

Je me suis découvert au boulot. (2)

... une érection, d’autant qu’en plus elle est venue joindre le geste à la parole. J’étais un peu rassuré quant à ma réaction, je me disais que je n’avais pas viré ma cuti et que je venais de découvrir mon côté bi. Pendant ma pause c’est mon patron qui me tenait le sexe et maintenant ma collègue en faisait de même. Décidément mon appendice avait l’air de plaire. Marie s’est mise à m’embrasser et ses longs cheveux sont venus se mélanger aux miens. Là elle m’a dit que vu que je sentais un peu le sperme elle pensait que j’aurai une haleine au sperme mais ce n’était pas le cas. Elle m’a demandé des détails indiscrets sur ce que je faisais avec Claude, mais j’ai préféré rester discret pour l’instant. Marie qui n’était pas vraiment farouche a glissé une main dans mon pantalon et là elle a constaté que j’avais une douce et culottes sur moi. Elle m’a regardé dans les yeux en me disant: "mais tu es une véritable cochonne". Elle m’a pris par la main pour m’emmener dans son bureau et là elle s’est assise sur ce dernier et a soulevé sa jupe. À ma grande surprise, elle n’avait pas de culotte; manifestement elle n’était pas vraiment pudique dans l’intimité. Elle m’a fait asseoir dans sur son siège et m’a dit: " tu vas me bouffer la moule ce soir, sinon je raconte tout à tout le monde". Elle m’a avoué que ça l’excitait énormément de me voir dans des dessous féminins. Là je lui ai expliqué qu’il n’y avait pas besoin de faire du chantage je rêvais de lui brouter le minou depuis bien longtemps. ...

... Je reconnais que m’occuper de ma collègue m’a toujours trotté dans la tête mais jamais je n’aurais pensé que j’y arriverais un jour, encore moins dans ces circonstances. Quand je me suis retrouvé sous sa robe fendue ça sentait la femme et cela me plaisait. Elle m’a expliqué qu’elle avait prévu le coup depuis longtemps et qu’elle me laissait le soin de lui faire sa toilette intime; cette dernière n’ayant pas été faite depuis 2 jours. Moi qui ai horreur d’un minou qui sent le savon, d’un minou qui sent la propreté; là j’étais comblé. Son minou avait une odeur, son minou avait un goût, ma langue se promenait partout. Bien qu’entretenue, sa toison pubienne était assez longue, ça aussi j’adorais. Ma collègue appuyait sur mon visage et ce dernier était en train de se recouvrir de cyprine. Un moment elle m’a fait redresser pour que je vienne l’embrasser, sa langue se mélangeait dans ma bouche aux effluves de son intimité. J’étais maintenant pour ainsi dire debout et elle à moitié allongée sur son bureau. J’en ai profité pour me débarrasser de mon pantalon ainsi que de ma douce au culotte. Mon sexe était à quelques centimètres du sien et je mourais d’envie de la pénétrer, j’ai même poussé le vice jusqu’à aller caresser mon prépuce sur ses poils pubiens imprégnés de cyprine. Pendant que nous nous embrassions Marie a saisi mon sexe pour aller le frotter contre son minou, il ne m’aurait fallu qu’un coup de rein pour la pénétrer. À ce moment-là Marie m’a dit que j’aurai le droit de la ...