Découverte
Datte: 20/09/2020,
Catégories:
fh,
extracon,
inconnu,
fépilée,
hotel,
telnet,
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
... tendrement, puis se sont écartées pour laisser nos langues s’entremêler. Elle embrassait divinement. Mes mains se promenaient sur sa taille, et je regardais tout son corps. Elle était déjà pieds nus, attendant la suite. Elle m’aida à déboutonner sa robe qui s’ouvrait sur le devant, découvrant ainsi une poitrine généreuse emprisonnée dans un soutien noir. Plus bas, elle portait un adorable petit string assorti. Je me dis que j’avais beaucoup de chance, elle était très belle. Lentement, je fis glisser les bretelles du soutien et libérai bien vite les globes emprisonnés et me mis à les caresser, lentement, avec sensualité. Mes doigts parcouraient sa nuque, ses épaules, et ses seins qui semblaient déjà au garde-à-vous. Inutile de vous dire que devant un tel spectacle, il y en avait un autre qui commençait aussi à s’énerver !!! Elle entreprit de me déshabiller. La chemise. Elle fut heureuse de voir mon torse imberbe. Le pantalon ensuite, puis le boxer. J’étais debout devant elle, et elle semblait me contempler et son œil pétillant montrait sa satisfaction. « Oh ! tu es totalement imberbe, ton sexe est tout lisse.mmmmh ! » J’étais ravi que cela lui fasse autant plaisir. Elle m’attira vers le lit. Etendus l’un contre l’autre on s’embrassa fougueusement et mes mains commencèrent leur balai. Les seins, dont les mamelons ressemblaient à des fraises pointées vers moi, m’invitaient à la dégustation. Ce que je fis sans me faire prier. Laissant mes mains glisser sur son ventre, puis sur ...
... ses cuisses douces. Mes baisers semblaient la mettre dans tous ses états. En voulant vérifier, je buttai sur le string (tiens, je l’avais oublié, celui-là !), mais je fis durer le supplice en caressant le string suivant l’élastique, prenant bien soin d’éviter le triangle du diable. Nos langues continuaient à s’enrouler, et je passai finalement ma main sur son pubis, que je sentait frémir au travers du string. Ses yeux semblaient me supplier de le lui ôter, afin que plus rien ne sépare nos chairs. Je nous débarrassai donc de cet obstacle, pour enfin découvrir son trésor. Son sexe était totalement rasé, laissant apparaître une fente toute lisse, et déjà bien humide. Je passai donc la main sur ce triangle lisse, et parti à la conquête de la montagne de Vénus, qui ne demandait, ma foi, qu’à entrer en éruption. Glissant un doigt inquisiteur dans la vallée des plaisirs, je trouvai une petite rivière, qui se changea bien vite en torrent en quelques secondes. Elle laissait échapper des gémissements de bonne augure pour la suite des événements. Mon exploration s’aventura alors à l’entrée de sa grotte d’amour, qui la fit tressaillir. Je remontai un peu vers les replis où se dissimulait un clitoris bien gonflé par l’excitation. Bien lubrifié par sa mouille, mon doigt glissa sur son bouton d’amour, je m’y attardai quelque peu, et son regard se faisait hagard. La montée vers le plaisir était bien lancée, mais je ralentis un peu mes caresses pour ne pas aller trop vite. Dès que je la sentis ...