1. Un dimanche pas comme les autres - 1


    Datte: 20/09/2020, Catégories: ff, fff, fbi, couplus, init, Lesbienne

    ... toutes les trois avons le sourire. C’est Béa qui se lève la première, et doucement me tend la main. Elle m’aide à me relever, ma robe retombe dans une position normale. Sans me lâcher la main, elle me fait la suivre dans le salon, le couloir. Elle entre dans sa chambre, se poste à un pas de son lit et me dit de la rejoindre. Alors que je lui fais face, je sens dans mon dos la présence de Fabienne. Je sens ses seins dans mon dos. Sans attendre, elle me fait de nombreux baisers dans le cou. Béa me dit : — Tu pourrais me défaire tous ces boutons. Elle porte une robe beige en lin, fermée par une dizaine de boutons. Je commence par le haut. Je ne mets pas longtemps pour tous les ouvrir. Les centimètres de peau qui m’apparaissent me donnent envie de les caresser. Les pans de sa robe ne couvrent déjà plus que ses seins. J’écarte chacun d’eux. La robe finit par tomber derrière elle. Je me sens terriblement troublée par cette jolie brune aux cheveux longs qui dans un adorable ensemble prune s’offre à mes yeux en spectacle. Fabienne, toujours derrière moi, prend ma main en me murmurant à l’oreille : — Tu la trouves belle, toi aussi ? Que répondre d’autre que oui. Elle porte ma main vers Béa qui me dévore d’un regard incendiaire. Ma main se pose sur son buste et descend sur le soutien-gorge. Je peux parfaitement deviner ses aréoles derrière le voile fin du tissu. Ils semblent très fermes. Fabienne me fait avancer encore plus près de Béa qui m’embrasse d’un mouvement de tête. Son sein ...
    ... dans ma main, je découvre une nouvelle langue, différente et identique à celle de Fabienne. Pas évident de trouver des différences avec toutes les émotions qui me bouleversent. Elle m’embrasse de façon plus classique, elle fait tourner sa langue contre la mienne. Je lâche sa poitrine et quitte notre baiser. Mes mains passent naturellement dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. D’un geste, il rejoint la robe plus bas. Je regarde ses seins, je les trouve beaux et l’envie de les toucher est irrésistible. Béa recule d’un petit pas pour s’asseoir au bord du lit. Je suis plus haute qu’elle dans cette position, les mains de Fabienne attrapent le bas de ma robe de chaque côté. Elles la remontent sans un mot. Je lève les bras pour lui faciliter la manœuvre. Ma robe passe par-dessus ma tête. Assise face à moi, Béa me caresse les hanches. Mon soutif s’ouvre et tombe à terre. Béa écarte ses cuisses pour se rapprocher encore un peu plus. Dans cette position, mes seins lui sont offerts. La chaleur de sa bouche paraît brûlante sur la pointe de mon sein. Elle me lèche en douceur la poitrine, m’aspirant le téton qui, de mémoire, n’a jamais été si tendu. Fabienne qui vient de se mettre à genoux derrière moi, me couvre le bas du dos de bisous. Traitement horrible que ces bouches sur mes seins et mes reins en stéréo. Les divines sucions sur ma poitrine me font mouiller abondamment. Je sens mon sexe se gorger de plaisir dans une délicieuse attente. Mes reins sont oubliés pour mes fesses que ...
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