1. Larbin (1)


    Datte: 20/09/2020, Catégories: Gay

    ... qu’il fume sa cigarette. Bien que l’odeur à travers ses Nike me le laissait imaginer, je ne peux que remarquer qu’il a tenu sa promesse... j’en prends vraiment plein les narines. Quand il a terminé sa clope, il reprend le pouf, met ses pieds dessus et me dit : « continue ton travail larbin ». Je veux, tout naturellement enlever ses chaussettes, mais je me prends une claque à l’arrière de la tête : « je ne t’ai rien demandé ! C’est nouveau, un larbin qui prend des initiatives ? Je vais t’apprendre à obéir ! ». Il se lève sans ajouter un mot, me laissant planté là, à genoux. Quand il revient, il s’assied face à moi, me montre deux pinces à linge qui viennent direct se poser sur mes tétons et me dit : « au besoin, il y en a encore d’autres ». Il s’installe à nouveau et me redit : « allez, fais la lessive ». Je comprends donc ce qu’il attend, que je lèche ses chaussettes, qui ne sentent pas la rose. C’est avec les tétons serrés par les pinces que j’entreprends de bien lécher ses chaussettes. Il me laisse lécher et savourer pendant de longues minutes. Quand il enlève lui-même ses chaussettes, il me dit « putain, tu me les a bien trempées ! » et il me claque les joue avec. « Pour tout, ce sera pareil : d’abord, puisque tu es accro aux odeurs, tu sniffes et tu nettoies quand je te le dis, c’est compris ? ». Comme j’acquiesce, il s’installe à nouveau, avec ses pieds face à mon visage. Je tends donc juste le nez pour constater que les chaussettes n’étaient qu’une petite entrée en la ...
    ... matière. Il pianote sur son portable, sans même me regarder avant de me lancer : « tu crois qu’ils vont se nettoyer tous seuls ? ». J’entreprends donc un nettoyage en règle de ses pieds moites et odorants, plante, dessus, côté, puis entre les orteils, où il y a quand même 36 heures de transpiration et un entraînement... Pendant que je travaille, il continue à pianoter sur son portable, se penchant de temps en temps pour donner de petits coups aux pinces que je sens de plus en plus. hazhjjpi Quand il en a eu assez, il a enlevé les pinces, s’est levé, s’est déshabillé sauf le boxer et m’a fait à nouveau coucher sur le dos. Il est venu frotter son boxer sur mon nez, devant et derrière en l’obligeant à lui dire que j’aimais, que c’était trop bon, lui dire merci pour ça. Il me motivait avec mes tétons entre ses doigts, qui après le passage des pinces étaient devenus bien sensibles. Il s’est rassit dans le divan a levé ses bras et a dit que l’entraînement avait été dur ce jour là, puis il m’a simplement dit : « aller y a encore du taf ». M’approchant, j’ai commencé directement à lécher, après une bonne gifle, il m’a dit « Mais tu ne comprends rien, salope ! A genoux !». Il a repris les pinces délaissées, mais cette fois, c’est à la peau des couilles qu’il les a fixées. Puis à nouveau assit, il a levé les bras et m’a simplement regardé pour me faire comprendre de continuer. Je me suis donc approché, pour juste renifler les effets de son entraînement et des quelques heures sans une ...