1. Aurélie 13


    Datte: 22/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... inexorablement. Mon orgasme allait être dévastateur. Cela montait, montait … Stop ! Commanda note maîtresse, au moment même où j’allais jouir.Iluna se retira immédiatement et je ne pus retenir un gémissement de dépit. Je regrettai aussitôt cet acte, mais c’était trop tard. Véronique eut une moue coléreuse et je crus bon de m’excuser. Pardon, maîtresse ! Je ne sais pas ce qui m’a pris ! Trop tard, salope ! Tu as déjà oublié où est ta place ? Non, maîtresse ! Je vous en supplie ! Pardonnez-moi ! Punissez-moi, je le mérite ! Iluna, va te mettre à quatre pattes sur la table du salon ! Oui maîtresse ! Quant à toi, Cybèle, tu vas te mettre derrière elle et lui bouffer le cul ! Et uniquement le cul ! Oui maîtresse !Je me plaçai derrière Solène, dès qu’elle fut en position. Ses fesses larges m’attiraient et je plongeai mon visage, avec délice, entre ses deux globes laiteux. Je ne comprenais pas la punition que voulait m’infliger ma maîtresse. En fait de punition, c’était plutôt une récompense, tant le cul de Solène était soyeux.Je ne compris que lorsque le premier coup de cravache s’abattit sur mes fesses. Surprise, je criai ma douleur. Silence, salope, lança Véronique, je ne veux pas t’entendre ! Contente-toi de bouffer le cul d’Iluna ! Si je t’entends encore, tu passeras la nuit sur le balcon !Je redoublai d’ardeur sur le petit trou de ...
    ... Solène. De temps à autre, je raidissais ma langue et l’introduisait dans l’anus, cherchant à distendre le sphincter. Je sentais, à ses coups de cul, qu’elle appréciait les caresses prodiguées. Et dire que ce matin encore, elle n’était qu’une oie blanche.J’en arrivais presque à oublier les coups de cravache que me donnait ma maîtresse. Je ne m’aperçus même pas qu’elle avait cessé, tant j’étais accaparée par le désir de faire jouir Iluna. Mon dos, mes fesses me cuisaient, mais je n’en avais cure.Soudain, je me sentis tirée en arrière. Assez, siffla notre maîtresse ! Il est temps d’aller se coucher !Frustrée, je faillis lâcher un cri de déception, que je retins à temps. A quatre pattes, elle nous conduisit à notre réduit. Je me demandai comment nous allions pouvoir dormir. Le lit ne faisait que quatre-vingt centimètres de large. Maîtresse me fit étendre, face vers le mur, puis Iluna se plaça, tête-bêche, dos à moi. Ensuite, Véronique nous attacha, moi, les poignets reliés aux chevilles d’Iluna, et inversement pour Iluna. Puis elle relia les deux liens aux montants du lit. Nous étions proches l’une de l’autre, collées dos à dos, sans pouvoir nous toucher. Ensuite, elle nous fourra un bâillon-boule, en bouche, à chacune d’entre nous et nous quitta, après nous avoir flatté les fesses. La lumière s’éteignit bientôt et le silence se fit dans la maison. 
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