1. Ophélie, de femme à femelle (7)


    Datte: 22/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... ne pas qu’il s’en rende compte, je lui fais un petit bisou sur le front et part lui préparer sa soupe. 19 heures, c’est prêts il mange tranquillement, prends ses médicaments et je lui dis bonne nuit et, à demain. Je sais que dans moins de 10 minutes, il sera parti pour 12 heures de sommeil. 19 h 25, je commence à chercher ce qu’il a voulu dire par soit prête. Je cherche sur le net, domination, soumission, maître, soumise. Mon dieu, il y a des milliers de résultats, des forums, des blogs, des témoignages…. Je vois des dizaines de photos de soumises, attachées, maltraitées, baisées…. Vais-je subir tout ça ? Le seul point commun sur toutes ses photos : l’absence de poils pubiens. Sur plusieurs forums, je lis que l’épilation est presque toujours exigée. Voilà, direction la salle de bain, y a plus qu’a, comme on dit. Petit passage de tondeuse pour dégager le terrain, et ensuite rasage délicat pour ne pas me couper, le passage des lames sur mon pubis et autour de mes lèvres me fait frissonner. Une fois la manœuvre finie, je me regarde dans la glace, ma petite chatte toute nue, toute douce, comme une petite fille, une petite fille de 40 ans. Je ne résiste pas à l’envie de me caresser, écartant légèrement les cuisses, appréciant la douceur de mon mont de venus, l’humidité de mes lèvres. Durant cette inspection, je remarque encore quelques poils qui restent autour de mes lèvres et à proximité de mon anus. J’attrape le miroir de courtoisie sur le lavabo, le pose par terre et viens ...
    ... m’accroupir au-dessus, dévoilant entièrement mon intimité. Je vois tout, et avec l’effet grossissant, j’ai l’impression d’être à quelques centimètres de mes orifices. J’élimine les quelques poils restants, dernière inspection : parfait tout est lisse, partout. Bien que j’aie fini mon travail, je reste dans cette position, accroupie au-dessus du miroir, ne pouvant détacher mon regard sur mon intimité. J’écarte même mes fesses pour mieux voir mon anus, un peu boursouflé, mais encore ridé, ensuite mes lèvres découvrant l’entrée de mon vagin, tout rose et luisant. Quand je pense que la grosse bite d’Arnaud était dedans il y a peu de temps, quel spectacle ça devait être, mes lèvres comprimées sur sa tige, humm, je ne peux m’empêcher de glisser deux doigts dans ma fente en y pensant. Je regarde à travers ce miroir mes doigts coulisser dans mon fourreau soyeux, les recouvrant de mon jus, hum, je me tends, je suis sur le point de jouir. J’essaie de me contrôler, de me calmer, mais je ne peux pas retirer mes doigts de mon orifices, c’est plus fort que moi, je me tiens de ma main libre au bord du lavabo pour ne pas tomber, je me crispe, tremble sur mes jambes repliées, je vois mes doigts accélérer leurs mouvements malgré moi. Humm, la bouche ouverte, laissant échapper un râle, je me libère, je jouis, aspergeant mon miroir de mouille, me faisant tomber à genoux à bout de souffle. Je suis toute essoufflée, comme si j’avais parcourue un marathon et, pour ne rien arranger, j’entends toquer à ...
«1234...»