1. Ophélie, de femme à femelle (7)


    Datte: 22/09/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... soient portées par ces pinces. Il sourit, il voit que j’aime ça, que j’aime souffrir. Il lève la chaine au niveau de mon visage, me faisant me mettre sur la pointe des pieds pour soulager mes seins, tirés vers le haut et, du plat de la mains me claque la chatte, me faisant reculer un peu, accentuant la tension de mes seins. Ça chauffe au niveau de mon sexe et m’excite, je reprends ma position, sur la pointe des pieds. Tout en me regardant, il me demande « encore ? » Les yeux pleins de larmes, de douleur ou de plaisir, je ne sais plus, je fais oui de la tête. Une nouvelle claque s’abat sur ma chatte, plus précise, claquant mes lèvres et mon clitoris. Je mords le bâillon et sens un jet de cyprine coulée le long de ma cuisse. Vas- y salop, plus fort, pends moi par les seins, claque moi la chatte plus fort salop ! Toutes ses pensées restent coincées derrière cette boule qui m’obstrue la bouche. Une nouvelle claque me fait jouir en silence, les yeux fermés. Ce fût bref mais d’une intensité encore jamais égalée. Il lâche toutes les tensions, de mes seins et de ma chatte, me faisant tomber à genoux, en transe, à bout de souffle. Sans me laisser le moindre répit, il m’oblige à poser ma tête sur l’assise du canapé, se place derrière moi et d’un long mouvement me pénètre, sans la moindre résistance ma chatte, parfaitement lubrifiée. En un coup je me sens totalement remplie, pleine de sa grosse queue, écartant mes lèvres. Il me prend les poignets, les tenant au creux de mes reins, me ...
    ... faisant cambrer au maximum, accentuant sa pénétration tout en commençant un dur vas et viens. Des coups secs et rapides, comme si il voulait me perforer la chatte. Ces coups de butoirs me font gigoter les seins qui, de par ma position pendent sous moi, les tétons tiré par le poids des pinces, m’électrisant à chaque mouvement. Il amplifie ses mouvements, je les sens plus rapides et désordonnés, je pense que lui aussi doit être excité de baiser sa chienne, de la faire couiner comme une cochonne. La pièce se remplie de soupirs et de râles, à quelques mètres de mon mari qui doit dormir paisiblement. Cela fait à peine une heure qu’il est là et j’en suis déjà à mon 2ème orgasme, je mords mon bâillon, je salive, bave à travers cette boule. Je sens son gland gonflé en moi, il va jouir, et m’entrainer avec lui, il me lâche les poignets, passe ses mains sous moi pour attraper les pinces et dans un dernier coup se déverse en moi tout en ouvrant les mâchoires des pinces, faisant affluer le sang dans mes tétons, provoquant des milliers de décharges électrique dans ma poitrine, exacerbant toutes mes zones érogènes, multipliant par 10 la puissance de mon orgasme, libérant un flot de cyprine énorme. Mon dieu je ne peux pas m’arrêter de jouir, de gémir, de grogner, j’ai envie de prendre mes seins à pleines mains et de me les presser, me pincer les bouts, recommencer à avoir mal pour jouir aussi fort ! Je suis en sueur, essoufflée, émue d’avoir autant jouis. Je le sens sortir de moi, laissant ...
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