Restauration Rapide
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
fh,
inconnu,
caférestau,
Oral
préservati,
pénétratio,
sf,
tarifé,
... stopper la cadence. Son crâne. Je vis quelques chose qui entourait son cerveau, quelque chose de rose et de visqueux, quelque chose de vivant EN ELLE… Flash ! Je sortis mon pénis et me sentis éjaculer convulsivement dans le réservoir du préservatif. Chaque jet me semblait d’une puissance inouïe. Comme si j’expulsais des années et des années de semence. Jennifer me regardait en se passant la langue sur les lèvres, épongeant son visage en sueur. Max poussa un cri et jouit à son tour, envoyant plusieurs jets de sperme laiteux sur le visage de la brune. — Mon Dieu, émis-je, sentant mes jambes défaillir. Tout était revenu à la normale. Je ne voyais plus en Jennifer, je ne voyais qu’elle, belle comme le diable… Je reculai vivement, me cognai à la table basse et chutai au sol. Max éclata de rire entre deux gémissements d’extase. — Eh bah, mon vieux ? J’essayai de parler, de dire quelque chose, mais mes lèvres sèches ne me le permirent pas. Je tendis le bras et attrapai mes vêtements. — Fuir… Oh oui, je devais quitter cet endroit. Quelque chose de terrible s’y cachait. Je me relevai et enfilai mon pantalon à la hâte, ramassai mon t-shirt. Mon portefeuille m’échappa des mains, mes cartes de paiement chutèrent au sol. Jennifer se relevait, et elle aussi ramassait ses habits. — Vous vous sentez mal ? Elle me prit la main et me força à me faire face. Ses mains se glissèrent dans les poches de mon pantalon. — Que se passe-t-il ? m’interrogea-t-elle.— Laisse-moi ! criai-je en reculant, ...
... comme si son contact allait me tuer. C’était peut-être le cas : j’avais vu cette chose en elle, dans sa tête. Je n’étais pas fou ! — Et voilà, fit Max, c’est parti pour une grande crise existentielle… Tant pis. La terreur s’insinuait en moi, brouillait mes pensées et mes capacités de réflexion. Je jetai une de mes cartes de paiement où il restait une centaine de Zousièmes. Pas le temps d’attendre. Tout en enfilant mes chaussures, je traversai la salle, zigzaguant entre les tables et les couples en pleine étreinte. — Ben ! m’appela Max derrière moi. Je ne ralentis pas, dérapai sur le sol, atteignis enfin l’escalier. — Ben ! Fuir, le plus vite possible. Fuir cet endroit maudit. — Ben ! Je descendis les marches quatre à quatre, sentant mes pieds qui sortaient de mes chaussures mal enfilées. Mais pas le temps de s’arrêter. Je traversai le hall du magasin, ne jetant pas un œil aux files d’attente monstrueuses qui s’étalaient à chaque caisse. Je me jetai littéralement dehors, et courus à en perdre haleine, jusqu’à ce que le Mac Donald soit derrière moi. Je courus, courus, à m’en étouffer, jusqu’à ce que mon cœur s’emballe, jusqu’à ce que mes jambes me trahissent. Je m’écroulai à deux rues de mon appartement. La rue était déserte. Ma respiration sifflante m’évoqua celle de mon père à la fin de ses jours. Un poids m’écrasait la poitrine. Qu’avais-je vu là-bas ? Que s’était-il passé ? Je passai une main sur mon visage en sueur, puis fouillai ensuite mes poches. Dans la poche arrière ...