1. Eveil sensuel


    Datte: 23/09/2020, Catégories: fh, fplusag, profélève, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, init,

    ... main. De cette façon, je vois d’encore plus près son entrejambe, à quelques centimètres de moi… J’ai la douce impression que son mouvement de jambes a permis de relever un peu plus sa jupe et une ouverture plus grande, qui me laisse deviner une toison brune sous ce petit slip de dentelle un peu transparent. Je n’ose pas la regarder, de peur qu’elle ne constate une bosse sans précédent dans mon jean. A la fin de l’exercice, elle se lève et me propose une boisson. Je remarque ses yeux qui semblent pétiller et un léger rictus. Je la suis du regard, tous ses mouvements sont décomposés. Je suis dans un état second; je dois me contrôler car c’est l’amie de ma mère. Elle revient de la cuisine avec les verres d’orangeade et les pose délicatement entre nous. Elle se rassoit et me demande si tout va bien. J’acquiesce de la tête avec un large sourire. — OK, so… Et c’est reparti jusqu’à 16h30, heure d’arrivée de sa fille de sept ans. Nous nous saluâmes par un bisou qui me semblait plus appuyé et plus long qu’à mon arrivée, et elle me dit : — À mercredi, dans 15 jours, à 14h30. Elle a un impondérable la semaine prochaine. Je repars très excité par ce spectacle de début de cours et commence sérieusement à prendre goût à la langue de Shakespeare. J’ai repensé très souvent à cette scène lors de nombreux plaisirs solitaires, pendant les 15 jours suivants. Mercredi en 15, jour de mon cours de soutien d’anglais. Je suis super excité. Je me douche, me parfume, mets mon plus beau caleçon et une ...
    ... chemise comme unique vêtement. Il fait très beau et très chaud aujourd’hui. Il est 14h00, je prends mon bus en tenant compte de 15 minutes de trajet. Je ne veux pas être en retard. 14h20, je suis devant la porte de son immeuble. Elle m’a donné son digicode, qui me permet de pénétrer dans son immeuble. Je prends l’ascenseur et monte au dernier étage. Il fait chaud. Je sonne à la porte. Quelques secondes après, je vois du jour dans l’œilleton, les verrous font du bruit, la porte s’ouvre. Surprise… Elle est pieds nus, vêtue d’un peignoir, des lunettes de soleil sur ses cheveux bruns huilés et tirés en arrière. Elle me fait remarquer que je suis en avance, pour un cours devant débuter à 15h00. Je lui rétorque que l’on avait convenu 14h30 lors de la dernière séance. Elle me prend le bras, m’embrasse doucement et me dit que cela n’a aucune importance. Elle m’invite à entrer et s’excuse pour sa tenue, puisqu’elle prenait un bain de soleil sur sa terrasse. En effet, je remarque le nécessaire à la sieste bucolique et un soutien-gorge rouge, posé sur un tabouret. Fait-elle du bronzage intégral ? Est-elle nue sous son peignoir ? Cette seule pensée suffit à me faire déglutir plusieurs fois de suite. Je reviens à moi lorsqu’elle m’annonce, en anglais évidemment, le programme de cette séance. Elle m’invite à m’asseoir dans le salon et me présente un texte assez long en français à traduire en anglais à l’aide d’un dictionnaire. Elle me dit que je devrais en avoir pour une heure - c’est ce ...
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