1. Le monde à l'envers


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, confession, couple,

    ... Remarque je comprends ton impatience après le rôle qu’elle t’a fait jouer. Qui n’aurait pas été troublé par ce que tu décrivais… Clarisse se relève. Un peu de salive au coin de ses lèvres lui donne une touche de vicieuse. En tout cas elle le regarde extraire un préservatif de sa poche, en déchirer l’enveloppe et le dérouler sur son sexe tendu. Il est bien monté le mec. Elle va pour s’allonger sur le lit, mais lui, avec un geste montrant la porte de séparation. — Tu veux bien. Elle veut bien ! Petit sourire aux lèvres elle se place. J’imagine que comme moi ils entendent leur texte qui résonne encore… « Tourne-toi… Une chaudasse… Appuie-toi… Montre-moi ton cul… Penche-toi… Écarte bien les cuisses… Voilà. Comme une pute contre un arbre… Comme une chienne qui attend que le mâle la couvre… Hein, que c’est ce que tu veux ? »« Oui. Prends-moi. » Pas de doute ! À la façon dont Clarisse se place, je devine que lorsqu’elle a écrit son texte, elle l’a imaginé. Elle se cambre, les mains bien en appui contre la porte, le dos presque à l’horizontale, la croupe est une offrande. L’homme s’avance. Il frotte sa queue contre la fente humide. Il se place. Une main sur une fesse, l’autre qui guide sa bite. Je ne peux pas voir le visage de ma femme, mais lorsque Marc pousse, sans violence, mais avec résolution, sa queue disparaissant de mon radar pour s’engouffrer dans la chatte de Clarisse, le cri qu’elle pousse en dit long. Long comme ce qui vient de la prendre. Et en plus je plaisante. Alors ...
    ... que je devrais me fâcher. Mais cela me paraît si naturel. Quel homme après ce qu’il vient de jouer n’aurait pas envie de sa partenaire ? Et elle, après ses gémissements, ses paroles d’encouragement et tout le poids du non-dit, comment ne pas céder à la tentation ! — Ça va ? demande l’homme décidément plus sage que dans son rôle. Il la baise doucement, bien à fond, faisant sortir son gland avant de le repousser dans la grotte accueillante. — Oui. C’est bon. Un peu plus fort. Il obéit. Elle doit maintenant se retenir contre la porte si elle ne veut pas être plaquée contre elle d’autant que c’est une seule main qui la retient, l’autre ayant suivi le chemin de son petit bouton. Elle se caresse. Il la baise avec force, ses mains s’accrochant aux seins qu’il empoigne. On sent la fin approcher. Lui dont je vois le visage, porte les stigmates d’une jouissance qui s’annonce. Elle a déjà joui, le signalant juste par des : « Ohhh ! Ouiiii ». — Je peux me finir dans ton cul ? J’imagine que tu…— Non. Pas par là. Je garde mes fesses pour mon mari. Même s’il ne le sait pas encore… Que c’est doux cet aveu. Surtout que depuis ce moment j’en ai effectivement bien profité. Je croyais que Clarisse avait largement offert son cul à son amant ce qui explique ma virulence et mon manque de tendresse. Elle ne s’en est pas plainte. La coquine. Vicieuse jusqu’au bout. Ils finissent. Ils se rhabillent. — Tu me tiendras au courant, demande Marc alors qu’ils se font une bise de camarades.— Bien sûr. Mais ...