1. Le monde à l'envers


    Datte: 25/09/2020, Catégories: fh, extracon, cocus, hotel, vengeance, Oral pénétratio, fsodo, confession, couple,

    ... méli-mélo dans ma tête au point que Clarisse me demande si je vais bien. Il faut que je fasse attention. Elle pourrait se douter de quelque chose. Merde ! C’est un comble ! Elle, se douter ! Alors que c’est moi qui… Après avoir demandé, l’air de rien, si elle a bien son cours lundi, sous le prétexte que je risque de rentrer tard, j’ai pris ma décision. Par sécurité je téléphone pour réserver la chambre 16, après avoir vérifié que la 14 est déjà réservée. J’arrive très en avance. Je gare ma voiture assez loin. L’hôtel est basique. Dans les couloirs du parquet. Dans ma chambre aussi. Genre d’hôtel mal insonorisé. Une porte sépare de la 14. La clé permet de l’ouvrir, mais la seconde porte est fermée de l’intérieur. Le trou de serrure est opaque. Je ne verrai donc pas. Pendant un moment j’avais envisagé de mettre une caméra dans la chambre, mais j’ai renoncé. Tout de même il faut rester raisonnable. Je surveille par la fenêtre. Beaucoup d’allées et venues. J’ai compris que l’hôtel loue aussi les chambres pour une heure ou deux. Voilà une mode qui doit bien aider les amants et remplir les caisses de ces lieux qui se transforment en hôtels de passe même si dans ce cas il n’est pas question de prostituées. Personne de connu et pourtant j’entends distinctement quelqu’un entrer à côté. J’ai la peur de ma vie lorsque l’occupant vérifie que sa porte de séparation est bien fermée à clef. Même si je le veux je ne pourrai pas entrer et surprendre les amants. Amants ! Si c’est le cas ! Je ...
    ... fantasme peut-être. Quelques minutes plus tard, je vois Clarisse arriver. Une minute plus tard, à côté, quelqu’un frappe. — Oui ? demande une voix d’homme.— C’est moi. répond une voix féminine. Bruits de pas, porte ouverte puis refermée. Un silence qui s’éternise. Que font-ils ? Ils s’embrassent ? Ils se caressent ? Mais est-ce bien ma femme ? La voix était étouffée : — Que le temps m’a paru long. C’est elle, pas de doute. — Moi aussi. Nouveau silence. — Tu es bien pressée !— Pas toi ? Moi si ! Encore une fois mon mari a travaillé. Même pas de câlin. En plus il faisait la gueule.— Oh, alors je peux…— Pas touche. Tiens, assieds-toi. Je te réserve une petite surprise… Un silence et puis : — Oh. Continue… Tu es belle…— Ça te plaît ? Comment tu me trouves ?— Coquine… Même un peu plus…— Un peu pute ?— Euh… c’est-à-dire… oui.— C’est ce que je voulais. J’en ai marre de faire la femme potiche. Mon mari ne voit rien.— Oh, mais moi je vois tout. Ce soutien-gorge balconnet… Cette petite culotte… Je peux toucher ?— Non, pas encore.— Et ce porte-jarretelles… Ces bas noirs…— J’ai la nuisette assortie…— Oh… Je bande… Je bande…— J’espère bien. Attends que je m’occupe de toi. Un long silence. La porte n’est pas épaisse, mais tout de même pas au point d’entendre une chemise se détacher, un zip tiré, un pantalon tomber, un slip… Oh ! En tout cas c’est ce que j’imagine… Et je ne dois pas être loin, car : — C’est bon. Continue. Je suis content que ton mari soit insensible à ton charme. C’est moi ...
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