Péché capital avec Brigitte
Datte: 13/10/2017,
Catégories:
fh,
fplusag,
BDSM / Fétichisme
intermast,
Oral
pénétratio,
fsodo,
hdanus,
J’ai péché, pardonnez-moi. Je vais vous raconter pourquoi. J’ai un très bon ami que je connais depuis 15 ans qui m’appelle un matin du mois d’août et me demande de passer voir sa mère, car lui est encore en vacances. Elle vient de se séparer de son dernier compagnon et elle doit effectuer un petit déménagement. Le gros a déjà été fait, restent deux ou trois petits trucs. J’accepte sans problème, je connais bien Brigitte (sa mère) et je suis tout à fait d’accord pour lui donner un petit coup de main. Me voilà donc parti chez elle. Il est 9h30 du matin, je sonne. Elle ouvre, un peu surprise de me voir. Visiblement, elle ne s’est pas levée depuis très longtemps. Elle arbore une nuisette en soie blanche un peu transparente laissant deviner le contour de ses seins. — Oh David, bonjour, tu vas bien, sympa de venir, P. m’avait dit qu’il t’appellerait, mais je ne t’attendais pas si tôt !— Bonjour Brigitte, tu vas bien, je peux revenir plus tard si tu veux ? Répondis-je, en faisant allusion à sa nuisette, troublé par la tenue de cette femme que j’ai connue ado et avec qui j’ai toujours eu de bons rapports.— Non, non, tu ne me déranges pas, on va prendre un café et après on va commencer à démonter les meubles. Une sensation étrange m’envahit. Je m’aperçois que j’ai un début d’érection. Dans la cuisine, elle fait le café et, moi, je me surprends à mater littéralement ses fesses et à essayer d’apercevoir un bout de sein. Arrête David, il faut te contrôler !!! — Tu veux un sucre ? Sa ...
... voix me tire de mes rêves. — Euh…Euh…— Tu pensais à quoi ? Tu as l’air troublé, ce n’est pas ma tenue quand même ! dit-elle en rigolant.— Non, non, c’est très bien, un sucre… Le petit déjeuner se déroule normalement, même si j’ai l’impression qu’elle fait tout pour prendre des positions qui me permettent d’apercevoir ses magnifiques seins, ou de reluquer ses jambes. Il faut que j’arrête, je suis là pour démonter des meubles. C’est ce que l’on fait deux ou trois heures durant. Tout se passe normalement, à part qu’elle a gardé sa nuisette et que, par moments, mon sexe ne se repose pas vraiment. Nous finissons de démonter les meubles, les chargeons dans ma voiture et partons vers son nouvel appartement. Elle est enfin habillée, mais très sexy, une robe d’été moulante, plutôt courte, sans soutien-gorge. Nous arrivons donc à son nouvel appartement, nous déchargeons la voiture et commençons à remonter certains meubles. Pendant encore deux ou trois heures. Nous discutons de ma vie, de la sienne, du fait que, depuis qu’elle est de nouveau séparée, elle se sent seule, mais entrevoit de nouveaux horizons. Et là elle me dit : — En même temps, à mon âge, on n’intéresse plus beaucoup les hommes, ni les jeunes ni les vieux, à chaque fois parce l’on est trop vieille.— Attends Brigitte, tu rigoles, moi, je te trouve sublime.— Merci, tu es gentil. Brigitte a 51 ans, et on dirait qu’elle en a à peine 40. Elle est grande, élancée, ses fesses et ses seins n’ont pas grand-chose à envier aux nanas ...