Le garçon boucher 6
Datte: 25/09/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... doucement. Je t'ai dit que tu m'avais irrité la muqueuse. Mon clitoris est en feu. Sois moins rude. Crache dessus, lèche, mais en effleurant. hooo - Bon on va passer au plat principal. Tu as de la vaseline ? Oui, ce tube permettra une pénétration sans douleur. Tu joues à la douillette aujourd'hui. Attention, le petit train arrive, la locomotive approche du tunnel. Elle entre, tcheuh, tcheuh! - Hooh. La vache, ça brûle. Doucement bon sang. Je ne me souvenais pas qu'elle était aussi épaisse? Hoong, hoo. C'est une queue de concours. C'est bon mais ça déchire. C'est du feu. - Allez, bouge un peu, soulève-toi. Bien, tu vois c'est meilleur. On va faire tout doucement mon bébé. Je suis tout au fond. On ne bouge plus, on savoure. Bouge pas, déguste. Marcel m'a oublié. Emilie se livre : - C'est bon. Tu me remplis, je sens les pulsations de ton sang. Et toi, tu sens mes contractions ? - Oui, mais je ne vais pas pouvoir attendre longtemps. Tu m'excites. Je me retire, un peu pour mieux revenir. - Hoo, hum, heu, heu heu,ahh. - Vlan, prends ça, tiens. Tu vois, il suffisait d'avaler la pièce, vas-y. Roule ma poule. Et va que je te pousse. Belle salope. Le train est parti, il prend de la vitesse. C'est un express. La bielle s'emballe, Emilie fait le sifflet. Le chauffeur charge le four et crie qu'il fait chaud. Emilie tire le signal d'alarme, mais le convoi lancé n'obéit pas à ses supplications. C'est un train fou. L'Huissier nous fait signe de le suivre. Difficile métier que le sien. ...
... L'habitude des interventions ne l'empêche pas de ressentir des émotions. Laure de l'index désigne la bosse de son pantalon et retient un fou rire. Dans un cri de plaisir mêlé de douleur, Emilie s'envole, le coq glorieux pousse son cocorico et Maître Konsta fait irruption en se présentant d'une voix de stentor. Marcel reste planté dans Emilie, freins bloqués. Laure hurle de colère feinte, fonce sur le couple tétanisé, insulte Marcel, envoie des claques de théâtre. L'huissier lui ordonne de se calmer. Je prends un air désolé. Enfin Marcel roule sur le dos, étendard dressé vers le lustre, gras de sperme. Emilie hébétée reste cuisses ouvertes tandis que se referme peu à peu le trou noir de son sexe maculé. L'huissier officie. Sacré Marcel, c'est vrai qu'il est bien monté. Les petites lèvres toutes rouges s'en souviendront. - Mais, mais, mais' Balbutie Emilie. - Bon ça va, j'ai compris, déclare l'amant. Ma pauvre Laure, eh ! Oui, c'est comme ça, t'es cocue : Bon voyage. Tu vois la belle femme qui veut de moi. - Ah ! Mais non, c'est faux, je suis mariée avec ce monsieur. Jean, dis leur. Je ne veux pas de Marcel. Jean, je t'aime ! L'huissier se marre, question d'habitude. Laure aussi. Je joue au mari consterné, au cocu humilié, impuissant, désolé. - Jean, tu sais, je t'aime, pleurniche la coiffeuse en cachant son pubis d'une main. Tu as promis de m'aimer toujours. Jean, pardon ! - Continuez maître, constatez selon la règle. Ma chère femme n'as-tu pas voulu me faire avaler du bromure ? - ...