Un coup de main amical (2) - Histoires de Sexe

Un coup de main amical (2)

Il est sept-heure du matin, mon réveil sonne, j’ai encore la tête dans le brouillard. En effet, hier ma femme m’a trompé avec Roberto. Celui-ci est un ancien copain de lycée avec qui elle avait eu une aventure. Le temps ayant fait les choses chacun avait fait sa vie de son côté. Mais, car il y a toujours un, mais, avec Claire, nous avions pris la décision de faire un enfant et elle est donc tombée enceinte. Nous étions donc dans l’obligation de refaire une chambre dans la maison afin d’accueillir dignement cet enfant. Malheureusement, au bout de trois mois de grossesse rien n’avait avancé. Les annonces, les réseaux sociaux ont apporté que des réponses négatives. Et nous stressions énormément, jusqu’au jour où celle-ci reçue un message de la part de ce fameux Roberto qui est peintre et décorateur d’intérieur. Le premier contact fut sympathique, mais notre couple ayant une libido quasi-inexistante, ne battait pas de l’aile, il était fragile. Pour preuve, lors du premier jour des travaux, Claire m’a trompé avec cet homme sur le canapé. Je suis à présent pris de remords, mais aussi de colère. Je suis d’accord que sur le plan sexuel, je ne suis pas au top, j’ai peur de faire mal au bébé ou autre. Donc je peux comprendre que le besoin soit énorme, mais tout de même, on ne trompe pas son compagnon alors que l’on est enceinte. Bref, je vais dans la cuisine, prépare mon petit-déjeuner et je sais par avance que cette journée va être pénible, entre le responsable du garage qui ne ...

... sait pas gérer sa comptabilité et qui est sous le couperet d’un redressement et ma femme qui va certainement profiter de toute l’après-midi pour s’envoyer en l’air avec Roberto, je ne sais pas comment je vais finir. Il est aux alentours de midi, Claire me téléphone, elle me demande comment se passe ma matinée, si je ne souffre pas trop de la chaleur. Bref, des futilités classiques, puis elle me prévient que deux cousins à Roberto seront présent cette après-midi afin d’avancer le chantier au plus vite car ce dernier à une urgence auprès d’un client qu’il doit aller voir en fin de semaine. Je lui indique qu’il n’y a aucun souci, puis nous raccrochons. D’un côté, je suis rassuré, cela voudrait dire que le calvaire que je subis prendra fin mercredi, et non-vendredi comme je l’aurais pensé dans un premier temps, mais d’un autre côté, je me demande, si les deux autres cousins ne sont pas au courant de l’aventure de la veille et qu’il voudrait profiter eux aussi des plaisirs charnels que peuvent procurer une femme enceinte. J’essaye de me sortir cette image de ma tête, mais rien n’y fait, il faut que je sois à la maison aux alentours de dix-sept heures. Mais comme de par hasard, il faut que je me retrouve bloquer en conférence téléphonique avec la chambre des commerces pour expliquer les erreurs comptables du garagiste et que je vais le remettre en selle pour qu’il n’y est plus de soucis à l’avenir. Le délai est de six mois, sinon le redressement sera inévitable. J’en fais part au ...