Jérémy en vacances en Corse (2)
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
Gay
... cela qui se mélange dans ma tête. Mon gland a disparu en entier sans que je fasse grand-chose. Je n’en reviens pas ! C’est à peine si j’ai creusé mes reins pour m’avancer en lui. — Ne bouge plus ! Reste comme ça un peu. Ça va ? Je n’ai rien à répondre mais si j’osais, je gueulerai que c’est génial. — Allez ! C’est bon maintenant ! Fais-toi plaisir et ne crains rien. Giorgio en a vu d’autres ! Pose tes mains là et bourre-lui le cul. Il adore ça ! J’ai posé mes mains sur les hanches de mon camarade, de mon ami, de mon amant (pour tout dire, je suis un peu déboussolé), et j’ai tiré sur mes bras sans forcer, en douceur mais avec une détermination incroyable ! Putain l’effet que ça me fait ! Rien de comparable avec la chatte d’une gonzesse. Je suis à l’étroit, gainé, enveloppé et maintenant retenu. J’ai ma bite engagée autant que cela m’est possible et Giorgio vient de me serrer, de m’emprisonner en quelque sorte. Je n’ose plus bouger ! C’est géant ! C’est phénoménal ! Pour un peu je me laisserais jouir sans rien faire de plus ! — Ça va Jérémy ? S’inquiète Tonio. — Si ça va ? Tu veux savoir si ça va ? Mon pote, je n’ai jamais été aussi bien de toute ma vie, même le jour où j’ai dépucelé ma cousine, me dépucelant par la même occasion ! — Eh bien profite, prends ton pied, mec ! Un peu que j’en ai profité ! Un peu que j’ai pris mon pied ! Je ne peux pas dire le temps que j’ai mis à jouir dans son cul mais quand cela est arrivé, je tenais à peine sur mes jambes. J’étais crevé, à ...
... bout de souffle, des papillotes dans les yeux et la sueur qui me dégoulinait dans le dos ! Je me suis laissé aller par terre, heureux comme jamais. — Eh bien, mon gars ! Qu’est-ce que tu lui as mis ! Chapeau pour l’endurance ! J’ai hâte que ce soit mon tour ! La tête de Giorgio venait d’apparaître en lieu et place de son derrière. — C’est pas si souvent que je me sois fait ramoner comme ça ! T’es une vraie bête, mon pote ! La bête a eu besoin de Tonio pour se remettre sur ses pattes ! — Break les copains ! Je suis HS pour un moment ! Assis ou plutôt vautré sur mon fauteuil, je me suis contenté de les regarder tous les deux se faire l’amour avec passion, avec fougue mais aussi, étonnamment, avec beaucoup de tendresse. Une bonne demi-heure avait dû passer. Tonio, couché sur le dos, jambes repliées sur sa poitrine, faisait "la fille" et Giorgio y allait de bon cœur, le branlant de surcroit d’une main tandis qu’il maintenait les jambes de son camarade levées. Je me suis approché. La fatigue avait miraculeusement disparu pour faire place à une irrésistible envie d’enculer Tonio. Giorgio, grand seigneur, m’a laissé sa place pour aller s’asseoir à son tour sur le fauteuil. Je venais tout juste de pénétrer le trou béant que m’avait gentiment abandonné Giorgio quand j’ai vu la porte de ma chambre s’entrouvrir. Oh ! À peine ! Juste assez pour laisser passer la tête de … Maria !!!! Ni Giorgio et encore moins Tonio ne pouvaient la voir. Et moi, j’étais là, comme statufié, ma queue plantée ...