Vive la retraite !
Datte: 28/09/2020,
Catégories:
2couples,
hagé,
fagée,
voisins,
jardin,
Oral
69,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
jeu,
yeuxbandés,
init,
entrecoup,
... Il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse et son plaisir est si intense qu’un instant j’ai peur que sa mâchoire ne se referme sur ma queue maintenant si raide que j’ai du mal à la courber pour rester dans la bouche accueillante. Je me retire alors qu’Anne est à nouveau emportée par la jouissance. Sylvia comprend qu’il ne faut pas trop tarder, alors elle se lève, fait allonger David, place Anne à califourchon sur son mari, présente le sexe à l’entrée du vagin et appuyant sur les épaules de la cavalière, la fait s’empaler sur le pieu. Puis sans attendre, elle force Anne à se pencher ce qui fait présenter l’œillet à notre regard. Il est ouvert, humide, prêt pour l’introduction. Sylvia fait signe que c’est à moi, mais en plus, d’un geste sans équivoque, elle m’invite à être brutal. Ce que je fais en entrant comme un hussard. Anne est surprise bien que j’aie glissé dans ce réduit sans grande résistance. Heureusement que David, prévenu par nos signaux, la tenait fortement dans ses bras. Un instant j’ai peur d’avoir été trop violent mais je suis rassuré par ses paroles : — Waouh, quelle force, je suis pleine, j’ai deux queues en moi, oui baisez-moi, je suis à vous, c’est trop bon de vous avoir ! Et elle commence sa danse en oscillant du bassin. Nous commençons à nous activer lorsque Sylvia attire notre attention. Elle veut que nous suivions ses indications. Alors elle nous fait exécuter une symphonie qu’elle écrit par nos actions. Manifestement ses souvenirs de « sandwich » ...
... reviennent et elle veut qu’Anne en profite. D’abord, David seul commence doucement un mouvement de va-et-vient, puis c’est à mon tour alors qu’il s’immobilise. Le cul de notre maîtresse est plus étroit que tout à l’heure, je sens la bite de mon compagnon à travers cette mince paroi qui nous sépare. Nous alternons pénétrations lentes mais bien à fond avec petits coups rapides et vifs. Puis Sylvia nous fait pistonner ensemble au même rythme par le vagin et par le cul, faisant sortir nos deux queues de leur étui pour les réintroduire en chœur. Chacun de ces mouvements est un régal pour nous les hommes qui sentons la queue de l’autre. Mais que dire de notre amie, il semble que tout son corps participe. Elle ondule, tortille, avance, recule, la tête tournant sans cesse. Et sa voix, oh ! sa voix qui change passant du grave à l’aigu, qui gronde, gémit, encourage, supplie. Enfin Sylvia nous laisse libres de jouer notre propre partition et nous voulons honorer encore plus les orifices qui nous recueillent. Rien ne nous retient et nos coups de soudard font d’Anne une marionnette entre nos mains. Mais David fait signe qu’il va jouir alors que je ne me sens pas prêt. Heureusement ma douce épouse, qui sait mon problème, m’encourage en caressant mes couilles et surtout, oh la coquine, glisse un doigt dans mon fondement pour l’exciter de l’intérieur. Comme toujours, cette caresse déclenche ma montée de sève et c’est synchronisé avec David que je balance ma purée. Elle est moins abondante que la ...